Art Lullaby

Négligemment avachi sur un siège de l’Antichambre Akatsukienne, Chikage Kazama fulminait seul pour une raison inconnue. À la vérité, le jeune homme lui-même ne savait plus exactement pour qu'elle raison il était en colère, mais il était néanmoins sur d'une chose : il l'était. Et encore, prétendre qu'il était furieux n'était qu'un euphémisme ; s'était une rage monstre qui lui choppait les tripes et l'étouffait, nouant sa gorge.

Pourtant, malgré son état de névrose intense, Il attendait dieu seul savait quoi dans cette maudite pièce. Et il s'ennuyait. Et plus le jeune homme s'emmerdait, plus il fulminait laissant courir sur sa peau cette démence si caractéristique. Oui : Chikage Kazama puait la folie a des kilomètres a la ronde. Il suffisait de le regarder dans les yeux pour comprendre face à quel genre de personnage on se tenait. Certes, Chikage était une personne profonde et intéressante sur le plan culturelle. L'homme était plein de verbe et de philosophie, mais il n'en demeurait pas moins un dément, un dangereux maniaque qui se plaisait a voir la peur et la douleur des autres. C'était la guerre qui lui seyait le mieux, qui le magnifiait si bien.

Et puis Chikage aimait la beauté et l'Art. L’Art avec un grand « A » d'ailleurs il ne vivait que pour ça. Enfin la beauté et la guerre. Les massacres étaient sa toile a peindre. Chaque corps un instrument dont il fallait apprendre a jouer, et a ce jeu là : Chikage était un véritable prodige. Le vent qui soufflait dans son cœur devint Ouragan dans ses yeux mêles de merveilles et d'horreurs, de rêves et d'enfers.

Doucement, il se mit a susurrer une comptines aux paroles atroces et immorales, une petite chanson sur les catins du coins et les cadavres qui s’entassaient au fond de la rue. Ah ! Pour sur, Kazama était un grand ninja ! Fallut-il qu'il soit plus dingue et plus sadique que le démon en personne ?

« - Quelle bande de gredins que les chef de cette organisation du saint enfer ! M'amuser sans punition, mon œil ! Publicité mensongère ! »

Ôdat-il a l'intentions des murs. Putain oui : qu'est ce qu'il s'ennuyait ! Il aurait donner n'importe quoi pour un jeu ou une quelle conque occupation.

De retour d'une mission de surveillance,Deidara était rentré dans le repaire de l'Akatsuki.Maintenant qu'il avait terminé sa mission il devait trouver une occupation,peut être confectionner un nouvel explosifs plus puissant que ceux qu'il avait déjà créer jusqu'à maintenant.Il pensait que son art était le meilleur,la seule personne qu'il connaissait qui aimait l'art autant que lui était son senseï,Sasori.Mais celui ci était mort lors d'un combat contre sa grand-mère et une ninja de Konoha.Il avait une manière différente de considéré l'art mais au fond il pensait pratiquement la même chose

Alors qu'il se rendait dans l'antichambre du repère,il entendit une voix,il ne la connaissait pas,peut être un intrus qui sait ?
Il entendit à nouveau la voix,cette fois ci elle était plus clair et il arrivait à entendre ce qu'elle disait:

- Quelle bande de gredins que les chefs de cette organisation du saint enfer ! M'amuser sans punition, mon œil ! Publicité mensongère !

Deidara était sûr qu'il s'agissait d'un membre de l'organisation criminelle à présent,mais cette voix lui était inconnu,il ne l'avait jamais entendu auparavant,il décida de pénétrer dans l'antichambre et de répondre à cette personne sans se soucier de qui il était réellement

Je vois que vous vous ennuyez ici.Vous ne semblez pas aimer nos chefs non plus...
Peut être qu'en considérant mon art vous passerez le temps ?

Il regarda l'homme se tenant avachi sur un siège prêt de la table de discussion.Voyant son camarade dans l'ennui,il plongea une de ses mains dans sa pochette latérale pour que sa bouche mâche de l'argile.Il ressortit sa main de sa pochette,bougea les doigts et ouvrit la main en direction de l'homme pour lui montrer sa création

Voyez vous mon Art ?

« - voyez vous mon art ? »
Chikage faillis répondre a l’intrus- de la manière la plus polie et distinguée qu’il soit- de bien vouloir bouger son adorable minois de cet endroit ou il avait élu domicile, mais se ravisa se souvenant que la cause de sa rage actuelle n’était autre que l’ennuis terrible qui lui bouffait l’esprit. Il resta dans un premier temps silencieux, et laissa courir sa langue sur ses lèvres tout en déshabillant du regard le blondinet. Pas la moindre pudeur dans ce regard , juste de la luxure et de la débauche. Il détailla sans gène le moindre trait de son visage sin fin et terriblement doux, les courbes splendides de ce corps élancé et parfaitement proportionné. Ses yeux s’attardèrent sur la pâleur de la peau du jeune homme, elle semblait douce, laiteuse. De sa place il sentait la douce fragrance qui émanait de l’inconnu, fruité et légèrement musquée. Agréable.

Son étude poussée aurai fait rougir n’importe qui. Il songeât a la couleur qu’avaient pris les joues de l’actuelle Raikage quelques années plus tôt lorsqu’il l’avait regardée de la sorte. Mais pour l’heure s’était ce charmant adolescent blond qui bouffait littéralement d’un regard qui n’avait rien de saint. Il glissa un doigt sous son masque pour le faire tomber dans son cou et passa une main dans ses cheveux pour dégager ses prunelles diaboliques. Pour mieux observer ce petit bout d’homme qui lui faisait fièrement face. Oh , il l’aurai mangé de la tête au pieds ! Il secouât négativement la tête: la n’était pas la question. Il repris contenance et chercha dans sa mémoire ou il avait déjà vus pareil visage .

- Tu es Deidara, le Kamikaze d’Iwa, si je ne m’abuse. sa voix grave se fondis dans les murs de la grotte.

Avant de rejoindre l’organisation quelques années plus tôt il avait été un grand déserteur, et de ce fait Chikage s’était renseigné sur les puissances imminentes de ce monde. Dans sa folie, il avait trouvé la lucidité de le faire. Et finalement il avait rejoint l’Akatsuki. Ses résultats avaient été surprenants: on ne l’avait pas laisser entrer de n’importe qu’elle façon. Sa mise a l’épreuve avait réussi a le mettre en difficulté et sur le moment il n’avait lui-même pas donné cher de sa propre peau. Pourtant il était là et aujourd’hui il discutait presque paisiblement avec un autre membre alors que dans d’autres circonstance il lui aurait sauté dessu et il aurai sans doutes…il ferma les yeux expira profondément , priant pour que l’autre n’ai pas pus lire sur son visage le flots de pensée qui l’avait traversé.

Kazama leva résolument les yeux vers Deidara et attendis patiemment la réponse a sa question avant de considérer que lui-même avait ignoré celle du blond.

- Montres moi donc ce que tu sais faire que je juge par moi-même si tu es capable de me divertir. Dans le cas contraire, laisse moi jouer avec toi au sens ou je l’entend. Qu’en penses tu ?

Il regarda l’autre du coin de l’œil et éclata de rire.
- Je rigole. Ce n’est pas l’envie qui manques, toutefois, je doutes que l’idée soit acceptée ! d’un geste de main il invita son compagnon a poursuivre son intervention.

[Les paroles commençant par un "-" sont celles de Chikage]

Deidara faisait le fier,toujours aussi satisfait de ces créations d'argiles.
Quand l'inconnu lui dit:

- Tu es Deidara, le Kamikaze d’Iwa, si je ne m’abuse.

Il lui répondit en souriant

Je vois que ma réputation me précède
Et moi à qui est je l'honneur ?

Il se dirigea vers un autre siège situer plus loin que celui où se trouvait cet homme,sans le perdre de vue,Deidara regardait chacun de ses mouvements.
L'homme sembla plonger dans ses pensées un court instant,il regarda Deidara bizarrement quand il reprit ses esprit,croyant qu'il ne l'avait pas vue.
N'importe quoi,pour qui il le prenait ?
Il avait de bon yeux qui n'épargnait aucun détail.
Alors qu'il s'asseyit dans un autre siège,l'inconnu à la cape akatsukienne lui parla à nouveau

- Montres moi donc ce que tu sais faire que je juge par moi-même si tu es capable de me divertir. Dans le cas contraire, laisse moi jouer avec toi au sens ou je l’entend. Qu’en penses tu ?

Sans qu'il n'est eu le temps de lui répondre,l'homme reprit

- Je rigole. Ce n’est pas l’envie qui manques, toutefois, je doutes que l’idée soit acceptée !

Quel dégonfler ce mec,il faisait son malin,prêt à se battre et il changea d'avis aussitôt,on croirait qu'il a peur.
Peut être devrais je lui montrer l'étendue de mon art pour qu'il comprenne qu'on ne joue pas avec moi.Deidara se retint pour ne pas éclater de rire devant une telle lacheté et une telle confiance en lui,mais pour qui il se prenait ce type ?
Il lui dit en souriant

Tu veux voir l'étendue de mon art ?
Dis moi d'abord qui tu es,j'aime savoir à qui j'ai à faire...

Chikage sentis une rage indicible lui monter a la gorge lorsqu’il entraperçu cette lueur de mépris au fond des yeux du blond. Oh, il lui aurai volontiers éclaté son adorable petit minois mais se ravisa et regarda le blond avec un sourire hypocrite au possible. L’idée que ses propos ai été mal interprété lui traversa l’esprit et il éclata de rire avant de présenter ouvertement le fond de la pensée. Il se pencha vers l’oreille de son interlocuteur pour murmurer quelques mots.

- Par jouer j’entend juste profiter de ton corps, qui je te l’assure est plus qu’à mon gout. il se redressa à une vitesse alarmante et s’éloigna de plusieurs pas avant de s’incliner ironiquement, les mains croisées dans le dos.

Son regard méphistophélique braqué sur le blond d’Iwa. Un nouveau rire s’empara de lui et un voile gris enveloppa son esprit. Il n’y avait plus rien de clair, juste un entrelat d’émotions toutes plus ardentes les unes que les autres. Son cœur brûlait tantôt comme le temple d’Ephèse ou le soleil qui se couche.

- Je suis Chikage Kazama. Le sang et les larmes du village caché de Kumo. il se redressa lentement et éclata franchement d’un rire étrange, un rire sans joie, dément celui d’un aliéné mais rire tout de même. Il n’y avait que tempête dans sa tête, un ouragan qui ne laissait plus place a l’humain. Il enserra ses côtes devenues douloureuse de ses propres bras. Ses prunelles dispareilles luisaient d’une flammèche délirante et détraquée. Il manqua de s’écrouler sous le poids de son hilarité non partagée. Cette perte d’équilibre le ramena a la raison et il stoppa son rire aussi rapidement qu’il s’était laissé emporter.

Il s’avachis a nouveau dans un siège pour reprendre contenance et ricana bien malgré lui tout en lorgnant les travers appétissants du blondinet. Une gifle mentale le remit à sa place de manière quasi radicale. Il se fit violence pour ne pas céder a toutes les pulsions qui lui traversaient le corps.

- Oh! Oublions, oublions et revenons en a toi. Tu avait quelque chose a me montrer je crois, n’est-il pas ?

Il retira son manteau pour être plus à son aise et se redressa dans son fauteuil pour observer avec attention ce que le kamikaze allait lui offrir pour spectacle. Et que Deidara le sache! Kazama Chikage ne vivait que pour l’Art avec un grand « A » alors il lui faudrait se surpasser pour divertir l’assassin prodige.

L'homme s'était enfin décider à décliner son autorité face à Deidara,il s’appelait Chikage,Kazama Chikage et il était originaire du village caché de Kumo.Pourquoi avait il dit être le sang et les larmes de Kumo ?C'était plutôt contradictoire comme expression,en tout cas ce type était bizarre mais semblait avoir lui aussi un certain goût pour l'Art,un art bien à lui,tout comme Deidara.
Peut être allaient ils bien s'entendre avec ce point en commun ou peut être allaient ils avoir tout d'eux un point de vue différent et cela allait faire comme avec Sasori,il partagerait chacun leur vision de l'Art.

Chikage lui demanda:

- Oh! Oublions, oublions et revenons en a toi. Tu avait quelque chose a me montrer je crois, n’est-il pas ?

Ainsi donc il voulais voir l'étendu de mon art,mais c'était avec plaisir,j'allais lui en faire voir de toute les couleurs,mais pas dans un endroit si petit,pas avec si peu d'espace pour lui montrer tout ce dont il était capable

Ne restons pas ici,sortons,j'ai besoin de place pour te montrer la puissance de mon Art !
Et puis je ne voudrais pas détruire se repaire,il est si bien conservé par rapport à l'ancien qui a été détruit lors du combat de Sasori-senseï

Décider à tout faire péter dans les environs,Deidara se releva de son siège et se dirigea d'un pas déterminé vers la sortie de la salle de réunion,il s'arrêta net arriver à la porte et se retourna en direction de Chikage et lui dit

Et vous ?
Quel est votre art ?
Je vous ai déjà fait un petit aperçu du mien mais j'ignore encore tout du votre...
A moins que celui n'en vaille pas la peine ou que vous en ayez honte ?

Deidara sourit suite aux mots qu'il venait de prononcer et attendit que Chikage le rejoigne dehors

Que Chikage lui parle de son art ? le prince déchu attrapa le bras du blond et l’entraina a l’extérieur. Il relâcha son emprise sur le garçon pour se concentrer sur la réponse qu’il allait fournir. C’était délicat. D’un geste très rapide sa main gauche ouvris un Gunsen, il laissa a Deidara le loisir d’observer la fasse brodée de l’instrument. Ce dernier représentaient un paon blanc cerclé de flemmes plus rouges que la braise la plus ardente. Il fit mine de s’éventer avec avant de pousser le mini levier qui libérait les lames de l’arme , des lames luisant d’un poison mortel.

Désormais libéré de sa cape Kazama était vêtu d’un keikogi aux couleurs sombres et broderies blanches. Il se laissa entrainer dans une sorte de simulacre de danse traditionnelle jouant de son éventail avec toute la grâce et la violence du monde, un mélange contradictoire qui avait de paradoxal la rare beauté qui en résultait. La passion qui s’en dégageait.

- Mon art est celui de la guerre. La mort, l’exaltation du corps et de l’homme par le combat. Mes massacres son des toiles éphémères qui s’embrasent et s’enflamment pour devenir poussière…il ne reste que la couleur rouge. L’Art qui ne dure pas est le plus beau n’est pas ?

Il s’arrêta de parler pour regarder le ciel: La lune était déjà visible au côté du soleil qui brûlait encore. De son autre manche il sortis un nouvel éventail-un vrais cette fois- et l’ouvris en le tendant vers le ciel pour cacher la sa vue et a celle de Deidara la vue de la reine de la nuit si pâle a cette heure. Le dessin de l’éventoir représentait un ciel embrasé par le crépuscule ou trônait en maitresse une lune plus incarnat qu’une flaque de sang trop aéré. Il se mit a sourire d’une joie malsaine.

- Elle est l’instigatrice de mon théâtre ! Elle est splendide n’est pas ? Pleine et rouge ! Sanglante et enragée…comme la guerre !

Il éclata de rire et se détournât sur une pirouette raffinée et fit quelques pour s’éloigner du poseur de bombes . Il repris sa chansonnette aux paroles indécente, cette chanson qui parlait des catins et de la guerre. Il demeurait certain que sa vision de l’Art demeurerai a jamais incomprise et cette constatation l’étranglât. Un feulement bestial se coinçât dans sa gorge alors que ses yeux perdaient leur malice au profit d’un froid polaire. Son regard couru sur le corps de l’homme aux longs cheveux d’or.
Il se repris se rappelant qu’ils était sortis pour une raison précise: Admirer l’Art de Deidara déserteur d’Iwa et pour divertir l’esprit alangui de Chikage.

- Qu’en est-il de toi ?

Deidara venait de voir l'Art auquel Chikage faisait allusion,cet homme avait donc créer lui aussi son propre art.Ce type semblait aimer la mort,il utilisait des armes plutôt louches aussi,mettre des lames dans un gunsen,qui aurait eu une idée pareil ?Et puis qui aurait pensé à mettre du poison sur ses lames,lui aussi semblait être sur de vouloir venir à bout de son adversaire simplement avec une égratignure causé par l'une de ses lames.
Il plongea ses deux mains dans chacune de ses pochette latérale pour que les bouches se trouvant à l'extrémité de chacune d'entre puisse manger l'argile que ses pochettes contenait.Alors qu'il préparait son art,il dit à Chikage du voix forte et souriante

A présent admire l'étendue de mon Art !

Deidara ressortit ses mains de ses pochettes latérales,chacune était en train de modeler de petites créatures semblables à des araignées.D'un geste rapide,il ouvrit sa main et il les envoya vers le ciel.Dès qu'ils eurent atteint une certaine hauteur,il plaça ses deux doigts de la main droite devant son visage et cria:

Rupture !

En plus de l'explosion que ces petites bombes venait de créer,des petites particules retombèrent sur la terre ferme laissant derrière une certaine beauté de leur passage.
A peine fut elles retombés qu'il replongea ses mains dans ses pochettes latérales pour modeler d'autres créatures.
Cette fois ci il les jeta au sol pour créer un écran de fumée,le rendant invisible aux yeux de Chikage.
Il profita de cette diversion pour créer une de ces créations,la bombe C2 dragon.
Dès qu'il l’eut modeler,il sauta sur son dos et le fit envoler vers les airs de manières à ne pas être vue pas l'autre membre de l'organisation secrète.

A présent il pouvait tout voir depuis les cieux,il voyait tout ce qu'il y avait autour d'eux.Son regard se concentra sur l'endroit où se trouvait Chikage,se demandant si celui ci allait le voir et ce qu'il allait faire à présent...

Des explosions. Chikage se garda de tout commentaire et se contenta d’hausser brièvement les épaules et de détourner le regard. Maintenant qu’il l’avait vus se vanter il trouvait ce Deidara bien vulgaire et peu digne de l’excès de colère qu’il lui avait accordé. Demeurait l’attirance sexuelle pure dont l’homme ne savait se défaire mais avec laquelle il arrivait a vivre. Un soulèvement d’air lui appris que le blond avait pris son envol sur l’une de ses créations en argile explosive et qu’il comptait sans doutes les narguer du haut de son dragon ou que savait-il encore ?

Il ne pris même pas la peine de lever les yeux pour chercher son jouteur du dimanche: le regard insistant de ce dernier sur ses travers parlait d’elle-même. Et franchement, qu’attendait-il de Chikage ? Que se dernier se mette en colère ? Qu’il l’attaque ? Par ce que si s’était un combat qu’il voulait il n’était pas tomber sur le bon adversaire. Kazama était rendu célèbre pour ses techniques effroyable et dévastatrice capables d’anéantir des villages entiers. Connut pour sa force et sa quantité effroyable de Chakra.

Il écarta légèrement les doigts laissant courir de l’électricité pure d’une phalange a l’autre. Comme une menace déguisée, une sorte de pseudo-désintérêt. Le plus simplement du Monde le prince se retourna vivement exécutant une charmante pirouette sur lui-même avant d’enfoncer ses mains dans ses manches dans un signe de prière bouddhiste. Il éclata de rire.

- Hé bien quoi petit mignon, tu attends quelque chose de moi ? Montres-toi plus exhaustif, par ce que je pourrait mal interpréter et crois le ce ne serai bon ni pour toi ,ni pour moi !

Et puis un détail lui revint en mémoire, une sorte d’ironie macabre et douloureuse qui sonnait comme un rire glas et gras.

- Surtout si nous devons coopéré en temps qu’équipe tu ne crois pas ?

Et la lune en croissant servait de sourire au ciel étoilé qui semblait se moquer de la situation.

Ainsi donc son Art ne lui avait pas plus,pourtant il lui en avait fait voir de toutes les couleurs,il lui avait fait un magnifique feu d'artifice mais cela ne semblait pas au goût de ce cher Chikage.
Celui ci lui demanda tout en riant

- Surtout si nous devons coopéré en temps qu’équipe tu ne crois pas ?

Il fût surpris par cette remarque que lui fit son interlocuteur,en réfléchissant deux petites secondes il esquissa un sourire et lui répondit bien naturellement

-Je ne coopère pas en équipe,je m'occupe de faire le ménage tout seul.

Il le regarda d'un air supérieur avant de reprendre

-Mes coéquipiers ne faisait que me gêner jusqu'à maintenant,un coéquipier ne ferait que me gêner pendant un combat,je devrais faire attention de ne pas le blesser

Il soupira repensant à ses précédents coéquipiers,aux diverses missions qu'ils avaient fait ensemble,se rappelant qu'il avait agis seul pour s'attaquer à l'hôte de Ichibi qui était alors le Kazekage du village de Suna,d'ailleurs ce combat lui avait coûté un bras,il perdit son second bras lors de l'attaque du repaire par des ninjas de Konoha,principalement le sharingan du ninja copieur qui avait utilisé une de ses attaque pour envoyer son second bras dans une autre dimension.
Puis son second coéquipier,Tobi,celui là était toujours vivant,c'était à se demander comment il avait fais pour ne pas mourir cet imbécile,celui ci ne faisait que le gêner,restant toujours en retrait il empêchait Deidara d'utiliser ses explosions sur de large zone.
Il n'était pas fait pour les combat en équipe,son truc,c'était la destruction de masse ou l'infiltration depuis les airs.C'était ça les inconvénients de son Art,il ne pouvait pas coopérer avec d'autres membres de l'Akatsuki

-- J’ai toujours travaillé seul également et pourtant, cela fait déjà plusieurs années que j’ai intégré l’organisation. Tu crois que j’ai été heureux d’apprendre qu’on allait me confier un chaton abandonné ? Il est temps de devenir un peu plus modeste, ne crois-tu pas ?

Une question purement rhétorique a laquelle Chikage n’attendais pas de réponse. Il haussa les épaules pour lui-même et se lassa choir dans l’herbe et ferma les yeux quelques secondes sans plus se soucier de l’autre blond qui -bien qu’attirant et culturellement intéressant-commença sérieusement a lui pomper l’air. Kazama n’avait jamais été un homme d’équipe. Toute son enfance durant il n’en avait qu’as sa tête même au péril de la vie de ses camarades de promotions.

Son rang au sein du village avait toujours effacé les ravage de la folie et de la haine. Il avait rejoint akatsuki peu après sa désertion, a cette époque la il était encore un gamin tout neuf et fringant. Trop naïf. Désormais il n’en était plus rien, par ce que le jeune homme avait perdu tout ce qu’il lui restait d’humain et se cachait derrière un faut bon sens et une logique effarante. La rage au bord des lèvres. L’ouragan prés a lui exploser cœur et thorax tout entier.

Il rouvris ses prunelles sur le ciel clair et regarda la sculpture d’Argile sur laquelle Deidara indolent roi des airs le narguait de son air arrogant. S’il avait été en mesure de lire les pensées du prince déchu a son égard il aurai eu vite fait de décamper et de mettre son derrière à l’abris. Cette vision incongrue déclencha une vague d’hilarité chez Chikage qui éclata d’un rire dingue et maladif. Compulsif, il se relevât de manière trop rapide pour que cela ne soit naturel.

- ton temps est écoulé. déclarât-il simplement en se retournant pour regagner le repaire. Toujours dos au blond il leva la main en guise de salut.
- Ce fut intéressant. Ton art ne me déplait pas, alors un de ses jours laisses-moi entendre ta plus belle voix… ajoutât-il pour conclure sur une nouvelle provocation.

L'arrogance de ce Chikage déplaisait de plus en plus à Deidara,ce gars ce prenait vraiment pour un dur à cuire.Quoi qu'il en soit,partenaire ou pas,Deidara ne changerais en rien ses méthodes de combat,il continuerais de tout faire péter et à ne pas se soucier de la sécurité de son coéquipier.
A peine Deidara eut il terminer son spectacle que l'autre membre de l'Akatsuki repartit pour rejoindre le repaire.Il se contenta de tourner les talons et de lever la main en guise de salut.Il poussa un soupire et croisa les bras,vexé,il préférait ne pas rentrer pour le moment et profiter du paysage.Il alla faire un tour dans les parages toujours sur le dos de son dragon d'argile,il avait besoin de réfléchir...