Voila que ça recommençait. Servir de professeur a une bande de Morveux en attendant les ordres d’Hanzo ;sauf si bien sur l’idée était venue de lui pour se débarrasser de sa surveillante attitrée, ce qui au fond n’avait rien de bien surprenant. Quand bien même, ce n’était pas une raison pour refiler a Kujo le sale boulot. Certes elle n’avait pas toujours été très correcte avec ses supérieurs ou très fair play avec ses équipiers mais elle n’était pas vraiment la méchante dans l’histoire et il n’y avait pas de raison qu’on la punisse de la sorte. Au fond, elle n’y était pour rien elle était devenue ce qu’il avaient fait d’elle. Elle n’avait même pas cherché a comprendre qui elle devait récupéré prés de la fontaine ce matin la . Elle s’y était rendue point barre. Et s ‘étai en soit un bon début.

En fait jusqu’as ce moment la, tout s’était plutôt bien déroulé. Elle n’était pas d’une humeur si exécrable que ça, elle avait correctement insulté de haut conseillé qui l’avait convoquée et avait juré contre tous les mazéage qu’elle connaissait. Franchement tout avait plutôt bien commencé. Et il avait fallut que le gamin ouvre la bouche trop vite pour débiter une connerie incommensurable qui au lieux de faire rire la jeune femme la mis dans une état de colère rare. Il fallait croire que -tout compte fait- Kujo Mezame n’était pas de si bonne humeur que ça.

« Merde, une femme! Comment tu veux devenir fort avec ça ! »

La question qui se pose, gamin, (si tu veux mon humble avis de narrateur) c’est comment du vas pouvoir devenir fort une fois qu’elle t’aura tué pour l’impudence dont tu viens de faire preuve.
Par ce que « la femme » comme tu le dis si bien, elle est quand même une Anbu chevronnée, cent fois honorée et actuellement garde du corps du Kazekage.

La brune plongea sur le rouquin suicidaire un regard glacial agrémenté d’un sourire franchement mauvais a faire fuir un membre d’Akatsuki, voir l’organisation toute entière. Que cet enfant le sache : s’il éprouvait un sentiment de supériorité vis-à-vis de leur sexe différent qu’il goute au mépris qu’il inspirait a l’ex-Oinin. A une vitesse hallucinante elle fondis sur lui et fin mine de lui frapper le ventre s’arrêtant a quelques millimètres du point sensible, l’attrapa par le haut de son tee-shirt et le souleva a la force de son bras jusqu’as ce que leur visages soient a même hauteur.
- Si t’es pas content petit merdeux s’est le même prix. crachat-elle vindicative avant de le lâcher sans ménagement pour le laisser s’écraser au sol.

Elle se penchât pour lui pincer l’oreille sans se départir de son sourire mauvais et le força a la fixer dans les yeux. Si elle n’était pas bien méchante, il y avait des choses sur lesquelles il ne fallait pas taquiner l’Anbu sous peine de subir de lourdes représailles.
- Mais si tu veux protester, morveux, je peu t’emmener voir Hanzo. Que tu expliques a ton cher Kazekage que celle qui veille sur lui depuis plus de quatre ans n’est qu’une femme et qu’elle est incapable. Crois -moi, je suis sure qu’il vas apprécier.

Elle le lâcha et se redressa de toute sa hauteur pour considérer ses désormais élèves. Des jumeaux aussi dispareils que le jour et la nuit. Un coup foireux a la rendre skyzo’.
Elle passa distraitement une mains dans ses longs cheveux d’encre et soupira pour reprendre son calme. Après tout elle n’avait de raison d’agresser plus que de raison ces deux gamins.
- Je suis Kujo Mezame. Ancienne Oinin désormais Anbu d’élite affectée a la garde personnelle et directe du kage en fonctions. Depuis désormais dix minutes votre professeur.

Ouais, tu fait des progrès Mezame, s’est bien tu vas devenir experte en communication un de ces jours, crois moi, j’ai foi en toi !

L’Anbu exigea de ses élèves qu’ils se présentent a leur tour et qu’il précisent leur affinités et spécialité, histoire qu’elle se rende compte de ce qu’elle pourrait bien leur apprendre, dans la mesure ou elle n’avait même pas pris la peine de jeter un coup d’œil au dossier fournir par le conseillé.
Elle fouilla ses poches et alluma une cigarette. Fumer, l’avait toujours rendue plus aimable. elle souffla un nuage de fumée blanche emplissant l’air d’une doucereuse senteur cannelle.