Un souffle de vent s’engouffra dans les cheveux coupés au sabre du déserteur. Ses prunelles dispareilles fixaient pernicieusement le bas de la pleine. Il se léchât les lèvres goulument et fit un pas ver l’avant. Le soir était encore loin. Il avait tout son temps devant lui. Il n’était plus en mission depuis déjà deux jours entiers et il ne se pressait pas pour rentrer. De sa démarche légère et aérienne le jeune homme descendit l’espace qui le séparait de la clairière.

C’est en fredonnant une chansons au textes honteux que le membre de la tristement célèbre Akatsuki s’avança dans l’herbe. Inconscient? Insouciant ? Nenni. Sa joie était feinte. Comme tout le reste d’’ailleurs. Chikage Kazama n’avait plus rien d’un homme. Il n’était qu’un corps abritant une âme rongée par la folie. Le pseudo-bonheur qu’il éprouvait n’était que malsain et rarement de bon augure. Pour le jeune homme les choses étaient simples: il y avait lui. Et il y avait les autres. Il n’accordait d’intérêt qu’aux choses mortes surtout s’il elles l’étaient de ses mains. On reconnaissait facilement un corps qui avait servi de toile a l’artiste mortuaire qu’était Chikage. Il ne laissait de ses proies qu’un moignon sanglant qui n’avait même plus de forme distincte.

Il se figea perturbé par la présence d’un autre chakra au moins aussi puissant que le sien. Sans doutes plus. Son regard se promena sur l’espace environnant. Il s’avança encore pour se retrouver face a L’autre . oui l’autre, celui dont le chakra empestait depuis l’orée du bois. Grand, plus large d’épaules que lui, de longs cheveux d’encre…un sifflement reptilien lui échappa. Un sourire carnassier et insolent se grava derrière son masque et ses yeux vairons se remplirent d’une joie perverse. Il passa négligemment une main dans ses cheveux, et tous ses muscles se contractèrent pour parer a une éventuelle attaque.

« - Ce ne serait pas ce bon vieux Kazegage ? » susurrât-il au comble de l’insolence. Il recula d’un pas. Puis, sans raison particulière, éclata de rire. Il mit fin a son hilarité avec une telle rapidité qu’elle semblait fausse.

« -Et, bien…et bien…que vous voila loin de chez vous! » poursuivit-il dans la veine de la provocation. Sur ses gardes, le regard malicieux. Chikage Kazama jouait enfin à un jeu amusant.

Chikage siffla devant tant de déférence. Un ricanement sonore lui échappa et il fixa avec beaucoup de cruauté le Kazekage. Alors comme ça monsieur le gros bonnet ne voulait pas faire plaisir au petit prince capricieux qu’était Chikage? On voulait le faire rire ? Par ce que si s’était le cas , on s’y prenait très mal. Son point électrique se levât pour s’abattre vivement sur le Kage. il se doutait bien que l’autre esquiverait, et s’était le but. S’il avait voulu le blesser il s’y serai pris autrement.

« - C’est bien ce que j’ai dit, nous allons animer le théâtre. »

Il lança une nouvelle attaque inoffensive pour faire glisser son adversaire sur la gauche, se marrant seul comme le pauvre fou qu’il était. Un coup, deux coups…et il rait toujours. Les muscles tendus avant de disparaitre du champs de vision de son interlocuteur.

Il était vingt mètres plus loin lorsque, une microseconde plus tard il réapparu. Il souriait comme un chat qui vas manger une souris-par ce que chat qui sourie, souris mangera-et il s’inclina dans une profnonde révérence.

« -Vous m’accorderez cette danse, n’est pas Kazekage-san? » demanda-t-il en une question purement rhétorique. Ah, oui Chikage aimait les belles phrases et les joli mots et l’autre s’acharner a ne pas en prononcer qui fut au gout du déserteur. Alors il paierait, mais comme tout chef de guerre: il mourrait dans l’art et la beauté!


[désolée c’est cours et trééééés moyen]

L’autre prenait la fuite ? Non. Ça n’y ressemblait pas. A une vitesse affolante il devança le Kazekage et se planta devant lui. Sourire froid planté sur le visage. Cette situation sentait le pur piège et il était persuadé de s’être jeté dedans la tête la première, mais qu’importe ? Il exécuta une pirouette très gracieuse pour un homme. En soit, le personnage de Chikage lui-même était bien trop raffiné pour appartenir a cette bande de petite frappes d’Akatsuki. Il respirait le charme et la majesté. Son aura noble écrasait toujours ses assaillant , à tel point qu’avec un peu de camps il aurai pus se faire passer pour un infiltré. L’idée lui paru bonne et il la garda dans un coins de sa tête pour plus tard.

« -Monsieur demande si je cours vite, c’est cela?… » il eu un sourire atroce. « - Suffisamment pour démembrer un homme sans armes.  » arguat-il en une menace a peine dissimulée.

Oui, l’image de ce corps puissant ployant sous ses propres muscles. Il réva une nouvelle fois le bruit des os que l’on brise il adorai cette sensation de puissance. Un air ravi apparu au fond des ses eux démoniaques.

« - La pièce de ce soir s’appelle les amans de la plaine. » susurrât-il avec une malice toute trouvée. « -Je n’ai jamais un amant très doux. » rajouta Chikage avec beaucoup de sérieux.

Un véritable soucis de réalité et de véridicité que celui du jeune Kazama. Et puis il décida que le jeu n’avançait pas assez a son gout, alors, pour faire avancer les chose, pour rendre l’amusement plus concret: il décida que les choses sérieuses avaient tout intérêt a débuter. Le but de la maneuvre était une gradation de la menace. L’air devint électrique. Un phénix de foudre se forma derrière lui. La créature de chakra était énorme et ne cessait de croitre pareil a la rage et la force qu’abritait le jeune shinobi. Les éclairs dégagés par la créature électrique déchiraient les arbres soufflaient les branches.

« - vous n’allez pas me poser, un lapin, pas vrais? »

Son piège avait fonctionner,son ennemi était tombé en plein dedans sans se soucier de rien,le Kazekage savait que celui ci le suivrait dans la forêt avec son air provocateur et sa confiance en lui.
Comme il s'en doutait un peu,son ennemi mis peu de temps à le repérer dans la forêt,il faut dire que Hanzo n'avait réellement chercher à se cacher,s'il avait voulu il l'aurait fait beaucoup mieux que cela ou serait aller se cacher vers un endroit mieux protégé et plus difficile à trouver,tout ce qu'il voulait c'était que son ennemi le suive.
Son ennemi se mit à sortir quelque chose de sa veste,le Rokudaime Kazekage resta vigilant,il pouvait sortir une arme.
Malheureusement ce ne fût pas le cas,il sortit un éventail,mais il croyait que c'était le moment de sortir un truc pareil alors que leur petite discussion était en train de tourner au vinaigre.
Hanzo ne prêta pas beaucoup d'attention à l'éventail que venait de sortir Chikage,bien que celui ci est quelque chose de particulier,il préféra porter son attention vers son adversaire et l'écouta de nouveau parler de danse et d'art à croire qu'il n'y avait que cela qui l'intéressait.

- Plutôt que de poursuivre ce jeu douteux, pourquoi ne pas me dire si vous savez danser ?

A croire que son ennemi ne voulait pas jouer avec lui à une partie de cache-cache,pourtant cela aurait pu s'avérer amusant,Hanzo esquissa un sourire et écouta son adversaire reprendre aussitôt.

- L’art Est-ce qu’il y as de plus beau n’est-ce pas, Kazekage-san?

Voyant que son ennemi se moquait de la situation et qu'il prenait tout à la légère,Hanzo décida de passer à l'étape suivante.Il continuait de sourire et dit à son adversaire

Vous ne voulez pas jouer avec moi ?
Pourtant vous vouliez interpréter une pièce de théâtre tout à l'heure

Son regard se fixa dans les yeux de son adversaire,il le regarda d'un air froid de tueur sans le perdre un seconde de vue.Quelques secondes après,le Rokudaime Kazekage disparut du champs de vision de son adversaire sans un bruit.

Citation :

PS:le dernier paragraphe signifie que comme tu as regardé Hanzo dans les yeux tu es plongé dans son genjutsu:Le suicide du renard et du tanuki (voir ma fiche technique pour plus d'infos)

Le Kazekage s’effaça lentement. Tellement lentement à la vérité qu’il eu été stupide de ne pas comprendre ou les menaient la chose. Chikage était furieux et pour faire bonne mesure il cracha au sol avec rage. Ses prunelles dis-pareilles fouillèrent les environs, s’était certes peine perdue mais, savait-on jamais? Il replia le Gunsen grognant comme un enfant auquel on ordonne de ranger son nouveau jouet. La situation avait de cocasse le fait qu’il l’avait lui-même désirée. Il s’était volontairement laissé entrainer dans un piège, mais n’avait pas prévu que le piège consisterai à le bloquer dans une illusion.

« - Rha, quelle galère. Je n’ai jamais été doué en Genjutsu! » geignit-il à voix haute.

Faire sortir l’adversaire de sa planque était la seule chose a faire. Oui la seule chose puisque-comme il l’avait expressément dévoilé- il aurai été bien en peine de briser le Justsu. Restant néanmoins sur ses gardes , le jeune homme se laissa choir au pied d’un arbre, se désintéressant totalement de la partie. Il n’allait pas se fatiguer a chercher quelque chose qu’il ne saurai trouver! Alors il se mit simplement a réfléchir dans sa propre tête. Un seconde partie de lui attentive aux moindre murmure d’oiseau.

Chikage kazama avait tout abandonné pour se complaire dans la débauche la plus totale et il aurait été stupide de croire qu’il changerai un jour au profit d’une vie sage et bien rangée, de croire qu’il se repentirait pour ses crimes. La vie telle qu’il la vivait était tellement plus exaltante.: le sang, les morts, la peur de ne jamais voir le lendemain, la traque…tout ce que le monde avait fait de moi humain était ce qu’il avait de plus doux. La seule chose pour laquelle il existait. Par ce que, plus que vivre, il voulait laisser un trace de son existence-si marginale et cruelle soit-elle- a la postérité. Une trace de l’assassin hors pair qu’il était depuis si longtemps déjà. Alors ce maudit Kazekage allait se taire, se montrer et crever dans la plus atroce des souffrance.

Il ne riait plus. Par ce que la situation ne l’amusait plus. Il n’y avait plus de jeu, juste deux hommes et un chemin. Un route sinueuse et au bout…la mort. Le regard de Chikage perdit toute sa malice et son arrogance. Se yeux ne reflétaient désormais plus rien. Rien qu’un océan de rage et de violence, une folie qui débordait de tout son corps par litres. Et puis le néant. plus rien du tout, juste un vide : la flammèche vive et ardente qui l’allumait venait de s’éteindre. S’était un autre homme que le Kage avait devant les yeux, un homme parfaitement différent, un être que rien n’atteignait, comme si rien n’avait d’importance. Un personnage sans pitié, que toute conscience et même toute folie avait déserté. Il cessa tout faut semblants et il en était terminé des enfantillages. Le jeu n’avait plus sa place.

Il n’était plus question de laisser fuir son chakra sans faire attention, il n’était plus question de l’utiliser sans méfiance juste pour prouver qu’on en possédait une quantité plus qu’impressionnante et presque inépuisable. Tout n’était plus que stratégie. Tout n’était plus que combat. Il ne voyait plus rien que l’issue. Dans un bruit de fer absolument atroce il sortis le Daito de son fourreau.

« - Sort donc de ta planque et réglons ça comme des hommes. » tonnât-il d’une voix sans timbre mais terriblement macabre.

Alors qu'il était toujours en train de le surveiller depuis sa branche,son ennemi se mit à se déplacer,d'un bond il arriva à porter de lui et coupa la branche sur laquelle il se trouvait.
Incroyable,il venait de briser le genjutsu dans lequel il était emprisonné.Il avait réussit de même à le repérer alors qu'il avait effacer sa présence,son chakra et était quasiment indétectable pour son ennemi.
Alors qu'il était en train de tomber,le Kazekage fit rapidement des mudras avant de laisser tomber une substitution de lui même tomber.Il s'était éloigné du point de chûte et était désormais sur ses gardes,son ennemi pouvait attaquer à n'importe quel moment à présent.

Hanzo se mit à réfléchir sur la stratégie qu'il allait devoir employé à présent,il devait se pencher sur l'offensive,ses techniques d'illusions étaient inefficace sur l'ennemi et il ne pouvait pas rester cacher à attendre que son ennemi se fatigue cela n'avait pas l'air de marcher.

Ça y est,il était prêt à se battre,en deux en trois mouvements il s'approcha de son ennemi rapidement et lui dit d'un air froid et brutal:

C'est ta dernière chance,fuit ou je te réduirais à néant pour toujours !

Sur ces mots,Hanzo se tenait prêt à lancer une attaque voire même une succession d'attaque,il avait une main prêtent à sortir des kunais de sa poche et l'autre placé sur le manche de son katana prêt à le dégainer lui aussi pour attaquer son ennemi.
Son ennemi n'avait plus le choix à présent,c'était la fuite ou...La Mort

Citation :

Désolé si c'est un peu court mais je suis pas très inspiré là