« Je vais te me le… » fulminante de rage, Kujo Mezame sortis du village avec pour seul et unique objectif ,celui d’écraser comme un vulgaire insecte ce crétin de môme qui avait eu la bonne idée de sortir en douce et qu’on lui avait demandé de ramener. Dire qu’elle était furieuse n’était qu’un doux euphémisme en comparaison avec la tornade qui secouait son esprit a l’heure ou elle marchait.
L’Anbu avait abandonner son masque de bois pour celui plus naturel de la rage qui peignait ses traits d’une sorte de beauté sauvage mais dangereuse que personne ne souhaitait avoir a ses trousses.

Dire que cet enfants avait de sérieux ennuis était bien peu quand on songeait au sort que son ainée lui réservait . Sa fugue ne tombait pas au bon moment. Juste a l’instant ou la brune s’était étendue chez elle avec l’idée de pioncer d’un repos juste. Une Mezame Kujo en colère était bien pire qu’une tempête sur le désert. D’autant que se n’était pas la première escapade du jeune garçon hors des terres de Suna et ce n’était pas la première fois qu’on le rattrapait. Sauf que pas de chance cette fois-ci, on avait lâché Kujo sur ses traces. Elle remontât sa piste jusque dans les montagnes les plus proches, ne cherchant même pas a cacher sa présence, fulminant a tel point que la colère suintait de son corps par tous les pores de sa peau. Les oiseaux firent courageusement le silence face a ce puits électrique.

Ses mains s’activaient sur une figurine de sable avec laquelle elle malaxait son chakra explosif, que ce gamin se tienne prés elle allait tout faire sauter et le ramener fissa dans les jupes de sa mère, ainsi elle pourrait retourner s’atteler a ce qu’elle avait entrepris c’est-à-dire : ne rien fiche et dormir jusqu’as satiété, trainer dans un bar et boire jusqu’as plus soif et attendre sagement le retour d’Hanzo postée dans son bureau. Kujo Mezame était l’un des visage les plus connut du village de Suna, que sa soit pour ses talents , les honneurs , ses missions ou son insubordination, sa vulgarité et son manque de respect pour ses supérieurs. Au font elle n’était pas un mauvais bougre et tout le monde savait que si elle aboyait elle ne mordait pas.

Les enfants savaient même par expérience que si elle criait et se montrait si maladroite avec eux s’était par ce qu’elle ne savait pas très bien comment s’y prendre. Nombre de ses camarades de l’académie avaient fondé leur famille et elle regardait leur marmots poursuivre des rêves insensés, des rêves qu’elle n’avait jamais eu. Elle ne comprenait pas toujours le sens de la vie de tous ses gens. Elle qui n’avait jamais désirée sa vie de Shinobi ne pouvait pas entendre un seul mots de leurs ambitions.

Naoki Kada. Ce petit avait traversé des moments difficiles a ce qu’elle avait pus observé. Un clan qui voulait redorer son blason et un héritier pas aussi compétant que souhaité..triste histoire mais si le gamin voulait sans sortir dans ce monde il devrais y faire face. Mezame ne pouvait pas faire grand-chose pour changer les chose et puis elle n’était pas la pour jouer les anarchistes. Juste pour rappeler a l’ordre un jeune en perdition. Elle écouta le gamin héler une personne qu’il ne voyait pas. L’air furieux elle s’avança et se planta face a lui:
-Naoki Kada j’vais te butter , s’pèce de morveux! hurlat-elle faussement menaçante.

Pour faire bonne mesure elle lâchât le papillon en sable qu’elle avait malaxé tout ce temps. Un sourire sadique et amusé elle prononça le mot que beaucoup craignait au village, son « Katsu » fut un murmure et le papillon explosa. Elle éclata de rire. La charge avait été plus minime que minime. Le but étant juste de menacer gentiment le bambin et qu’il prenne mesure de la chose. Elle n’avait jamais été capable de jouer longtemps les méchantes devant les gosses. Elle s’avança et lui pinça l’oreille.
- Combiens d’fois j’t’ai dit d’prévenir quand tu te tirait sans raisons, morveux ? J’vais avoir des emmerdes avec ta mère si je te ramène pas en un seul morceau.

Elle le lâchât et se lassa tomber au sol pour allumer une clope. Si elle ne pouvait pas le ramener par la force elle pouvait bien glander ici avec lui non ? Elle soupira.
-j’te jures…