Bijûu no Sekkai
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 La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]

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Mezame Kujo


Mezame Kujo

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MessageSujet: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeDim 19 Fév - 20:17

Au commencement il y avait la chaleur. Avant même de songer au reste. La chaleur terrible et lourde qui lui brûlait la peau, pareilles a des flammes jaune dont les langue rêches goûtent les murs des maison et détruisent les forêt. Comme les flammèches terribles qui rendait de poussière les corps des ninja qu'on fait disparaître. Et au milieu de ce brasier, le vent qui soufflait les cendre d'eux. Les éparpillait de loin en loin. Insensible a la douleur du deuil jamais porté. Le vent était ici présent et la jeune femme pouvait le sentir qui battait son visage aux prunelles clauses. L’alizé violent qui soulevait le sable-a défaut de cendre- et flagellait son visage.

Il restait l'odeur. Une senteur douceâtre, un étrange mélange entre de la cannelle et l'odeur insupportable de la poussière que les empereur déchaînés du vent, soulevait sur les alentour. Brusquement. Simplement. La femme ouvris les yeux. Des perles d'onyx brut qui sondèrent le paysage. Le désert d'habitude réservé et silencieux, hurlait la douleur du monde et pareil a un homme enfantait la nostalgie et la rage. Nostalgie de la paix véritable et rage du sang versé. La clameur de l'air déplacé engourdissait les tympans de l'incongrue personnage qui se tenait simplement debout. Détail qui lorsqu'on connaissait la concernée n'était pas a prendre a la légère.

Pourtant cette fois ci elle ne scrutait pas le désert a la recherche d'ennemis, mais a la recherche de paix. Paix qu'elle ne trouvais pas en son village. Lieux de son enfer personnel lorsque son supérieur direct n'était pas dans les parages. La tempête Mezame , s'était a nouveau enfuie dans le désert pour laisser solennellement couler son venin face à l'infini océan de sable et accomplir par les mots et l’écho une vindicte personnelle qu'elle ne pourrait jamais porter au monde de la chair sans être accusée de coup d'état. Vraiment s'était facheux.

Face au soleil donc, et debout droite comme une reine, Kujo Mezame indolente souveraine au pays des songes laissa couler de sa bouche au lèvres purpurines et mutines, une pluie d'injures toutes plus dépravée et déplacées les unes que les autres et fort peu adéquates pour une jeune fille. Pourtant la brune appartenait a cette rare caste de gens du bas peuple et de peu de distinction que le talent et l'ambition avaient mené en haut du siège social. L'Anbu avait cependant gardé toute la vulgarité que sa naissance dans les quartier les plus mal famé d'Iwa avaient gravé en son sein. Une sorte de poison qui coulait en elle comme facteur évident de son origine peu recommandable.

Une bourrasque de vent projeta ses très long cheveux d'encre sur son visage lui arrachant par la même occasion une invective particulièrement vigoureuse. Elle jura sur tous les dieux du sable et du désert qui avaient visiblement décidé de foutre en l'air sa journée.

- J'vous emmerde tous autant que vous êtes ! hurlât-elle. Pour elle, pour le vent, pour toute les choses qu'elle ne pourrais jamais dire, qu'elle ne pourrait jamais faire. pour toute la colère et la frustration qu'elle accumulait depuis des années. Elle envoya un coup de pied a un ennemi invisible et fit voler une grosse quantité de sable. Elle regarda le nuage orange se fracasser plus loin et se mêler a l'océan brûlant.

Un hurlement bestial et fort peu distingué lui échappa et raisonna longuement, régnant sur le désert emplissant l'air d'électricité. A bout de souffle elle se tut et se laissa tomber dans le sable chaud. allongée de tout son long un bras devant les yeux pour se protéger du soleil qui-astre douloureux et réconfortant a la fois- agressait sa vue et perturbais ses sens. Son autre mains fourrageant la texture meuble et chaude du sable. Son instinct s’affolât.

Finalement elle alluma une cigarette. Elle se redressa en position assise. Ça faisait déjà plusieurs minutes qu'elle se savait observée. Elle n'était pas la seule spectatrice de l'endroit qui essuyait seul depuis plusieurs années ses crise de rage et sa peine. Elle ne s'en formalisa pas. Hanzo s'était carapaté depuis plusieurs jours au sommet des Kage et était en sûreté loin du village. Il avait refusé qu'elle l'accompagne a la consignant a rester au village, alors qu'il savait très bien qu'elle ne ficherais rien de ses journées, là bas. Mais s'était une rencontre diplomatique et qui -selon lui- ne nécessitait pas sa présence. Il n'avait pas envie de l'avoir dans les pattes. Elle était d'ailleurs encore furieuse contre ce dernier.

Quand au visiteur inconnu, il pouvait bien faire ce qu'il voulait : le sort de Suna ne concernait -selon elle- pas Mezame. Elle était garde du corps du Kage. Les années sur le front remontaient a fort longtemps et elle ne souhaitait pas reparler de la chose. Tant que ce type ne l'attaquait pas elle le laisserait aller et venir en paix sur le territoire. Elle s'étira comme un chat et porta la cigarette a ses lèvres, humant l'odeur cannelle qui s'en dégageait. Un rire inexpliqué lui échappa. Tout de même elle se demandait qu'elle genre de taré viendrait se perdre dans ce désert assassin pour qui ne le connaissait pas. Elle avait passé des années a l'arpenter sans jamais en percer tous les mystères. Cet inconnu était inconscient. Kujo n'était pas par habitude une femme curieuse mais cette fois, son air blasé s'effaça pour une moue enfantine et excitée. Savoir qui était cette personne...

elle se releva avec une lenteur exagérée mais forcée, dans le but de ne pas céder a l'euphorie. Mezame pivota sur elle-même et fouilla l'horizon pour se retrouver nez a nez avec un homme. Grand. Imposant. Peau pâle. Visage fin. Un très bel homme. Une personne splendide qui puait , empestait le danger aussi sur que les émanations d'un cadavre sujet aux funérailles céleste sont toxiques. Ses prunelles se révulsèrent sous la méfiance son rythme cardiaque se ralentis sensiblement et elle se redressa pour faire fièrement face a l'inconnu, le détaillant du haut de son mètre soixante dix. Un grondement animal monta dans sa gorge. Il ne portait pas de bandeau. Elle regarda le sien attacher a sa ceinture, par réflexe et replongea son regard dans la mer d'incarnat des yeux de celui qui lui faisait face.

– Qui es-tu ?...et qu'es ce qu'un putain de déserteur viens foutre si proche de Suna ?
sa cigarette toujours a la main elle hésita a s'en débarrasser, puis jugeant que ça serait un crime elle la porta une nouvelle fois a sa bouche. Elle inspira une grande bouffée de tabac et jeta la clope au sol, décidant que finalement ça ne faisait pas de fumer a un moment aussi crucial. Et finalement...elle lui souris presque aimablement.

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Zuko Ozai


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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeDim 19 Fév - 21:16

~Un jour, l'espoir que l'homme a jadis perdu, renaîtra de ses
cendres et alors, le bonheur ne sera plus une chose éphémère,
mais naturelle, il coulera en nos cœurs tel une rivière pure et limpide...
~



L
e vide... Voila ce que ressentait Zuko... En fait il ne ressentait plus rien, il ne faisait que survivre, errer en ce monde comme un vagabond, il était tellement dénuer d’émotions que même sa propre famille ne le reconnaitrait plus, il était devenu froid, cruel, sadique et impassible, mais bon de toute façon il ne serait pas comme ça si sa famille serait encore en vie... Mais arrêtons de dire "si" car ce qui est fait est fait et nous ne pouvons rien y changer, malheureusement... Revenons en a ce pseudo sentiment de vide, Zuko a l'impression que plus rien ne compte maintenant que il n'a plus rien, il a l’impression d’être en chute libre dans les profondeurs abyssales du néant, mais en réalité il lui reste quelque chose, même beaucoup de choses. Il était un homme riche, il était a la tête d'un clan puissant et a sa simple demande des meurtres seraient exécutés, il possédait un tas d'arme et de relique en tout genre appartenant a son cal, sans parler de lui même, il était une machine a tuer, il était un shinobi plus que puissant, il avait en lui une force exceptionnel, mais l'Ozai se foutait un peu de tout ça... Tout ce qu'il avait aimer il l'avait perdu... Tout ce qu'il voulait dans la vie il l'avait eu... Maintenant, il n'avait plus rien, plus rien qu'il lui tenait a cœur... Aujourd’hui il était rien de plus qu'un tas de chair et de muscle se contentant de survivre jusqu’à temps que quelque chose lui redonne le gout de vivre, que une lumière se présente en ce monde obscure, et ce jour il suivra cette lumière, et il se jura a lui même que lorsque la chance se présentera il ne la laissera pas passer...


Bref, il se devait cependant de continuer a survivre jusqu’à temps que se jour se présente, il se devait de faire quelque chose... Pourquoi pas une escapade en des terres inconnu? De cette façon il pourrait découvrir de nouvelle choses, et notre protagoniste adorais en apprendre toujours davantage, la connaissance apporte le pouvoir et le pouvoir, voila une chose que Zuko aimait, la force et la puissance l'avait toujours attiré. Donc pourquoi pas faire comme il l'avait pensé et aller se promener dans un endroit qu'il n'avait jamais encore découvert, peut-être il y découvrirait quelque chose ou quelqu’un intéressant, car on ne sait jamais le type de surprise que la vie peut nous amener... Maintenant il devait régler la question de ou il irait en cette belle journee ensoleillée, Konoha, non il y était aller trop de fois et pour l’instant vu sa récente désertion il serait mieux de ne pas y aller, même si le clan et le village de la feuille était en bon terme ce n’était pas préférable... Kiri, la ou bien des malheureux événements malheureux se sont déroulées... Cette époque de sa vie l'Ozai tentait de l'oublier, tant de sang avait coulée lors ce cette funeste ère, Zuko avait tenter de mettre un peu de justice dans ce merdier dans lequel nous vivons, mais peine perdu, l'homme n'est pas prés a changer, il ne veut pas, l'Ozai avait bien tenter d'aider les plus démunis et de les protéger face au brigand et voleurs en tout genre, les dirigeants de Kiri comprit, mais il se butait a une idéologie bien encré dans la tête des gens: Je ne peux rien faire pour ma cause, je me doit d’obéir au ordre et de subir.... Quelle connerie.... Bref il allait oublier Kiri pour aujourd'hui, ce village ne le méritais pas... Soudainement il eu une idée.

Suna, mais pourquoi pas, le village du sable, il était surement celui que l'Ozai connaissait le moins, ce village avait surement lui aussi de nombreux secret et trucs intéressants a révéler, et le seigneur du feu se ferait un plaisir de le découvrir. Mais avant de partir pour ce périple d'une durée indéterminée il se devait de se préparer adéquatement, n'ayant a sa connaissance pas mit les pied souvent dans ce village, peut-être quelques fois dans sa jeunesse en tant que genin ou chunnin pour une mission. Bon les préparatif, comme pour tout voyage, il emmena avec lui un katana et il enfila un simple kimono, il n'emmena pas d'armure car de toute façon il ne contait pas ce battre, du moins pas asser intensément pour devoir se protéger... Il prit aussi des kunais et shurikens. Il emporta avec lui des ryos et de l'eau en grosse quantité dans des gourdes, car il le savait Suna était en plein désert, donc valait mieux ne pas manquer d'eau...

B
on il était maintenant temps de quitter le luxueux domaine des Ozai et de partir a l'aventure, de partir vers l'inconnu, peut-être ce voyage amènerait un peu de paix intérieur a Zuko ou bien encore plus de rage et de hargne, qui sait... Donc le fils du feu quitta son domaine en prenant soin de déléguer le contrôle du clan pendant son absence a un homme de confiance et il parti après quelques salutations banales. Le chemin se fit sans particulière encombre, certes il fut long, mais faciles, il rencontra quelques marchands, il n'y porta aucune attention, de toutes façon pourquoi perdre du temps avec eux, il n'avait probablement rien intéressant a dire et leur marchandise était de petite valeur, donc il allait les laisser tranquille... Pour cette fois bien évidemment, mais bon pour le moment il n'avait pas une envie de tuer donc cela s'aurait avérer un tantinet inutile, de plus il commençais a se rapprocher du désert car la végétation se faisait rare et la chaleur commençait a monter en flèche. Plus il avançait plus ceci s'accentuait et au bout d'une longue marche il se rendit compte qu'il était maintenant dans le vrai désert, il n'y avait rien, vide, excepté du sable et du sable... Des dunes de sables a porte de vue, cela ne semblait pas prendre fin... Ce lieux était si simple si calme, peut-être Zuko pourrait y méditer un peu... En effet il avança et réfléchi a sa vie, tant de question lui venait a l'esprit ; Pourquoi la vie l'avait tel menée a tuer son frère, pourquoi ce dernier avait essayer de le tuer, pourquoi son frère lui en avait autant voulu, pourquoi tout n'a pas été bien comme il l'aurais voulu, pourquoi autant de souffrance, de haine, de malheur... Pourquoi???


La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] Alone_2


Quelque chose vint stopper Zuko dans sa réflexion, un petit bruit, presque inaudible, il semblait que cela soit un cri, mais il n'en était pas sur... Étant un homme de nature, disons curieuse, il se faisait un devoir d'aller voir, peut-être cela serait intéressant, mais bon il ne s'attendait pas a grand chose, car la plus part du temps nous sommes déçu lorsque nous espérons donc il y allait sans trop espérer... Le bruit venait de vraiment loin, car il marchait déjà depuis un certain temps dans sa direction mais il ne voyait rien... La chaleur commençait a se faire sentir, donc il retira le haut de son habit et l'attacha a sa taille et il bue une bonne gorgée d'eau, même si les Ozai toléraient bien la chaleur il fallait avouer que celle si était torride, Suna était plus rude que notre shinobi le croyait. Bref, après ce brin de rafraichissement, il continua de marcher vers le bruit, plus il avançait plus il voyait quelques chose, au début s’était un point, puis une tache puis une silhouette puis enfin une femme. Puis sur cette femme des détails apparurent, elle avait un visage mince, des cheveux et des yeux foncer, noir tout comme lui,excepter les yeux, les siens était d'un rouge profond, les yeux de Zuko vous pénètre l’âme et peuvent vous glacer le sang, tout dépendant du contexte de votre rencontre avec lui... Autre détail, cette femme avait une poitrine plus que généreuse, cela attirait notre ninja, car étant un homme, il ne pouvait pas de ne pas apprécier ce petit détail, et il ne devrait pas appeler cela petit détail, plutôt gros détails... La femme au gros seins regarda Zuko et sembla elle aussi l'analyser, puis elle lui dit:

-
Qui es-tu ?...et qu'es ce qu'un putain de déserteur viens foutre si proche de Suna ?

Elle osait manquer de respect a un être comme Zuko, elle ne devait pas le connaitre car les derniers qui avait oser commettre cet acte odieux c’était retrouvé calciné en moins de deux, mais bon il allait lui laisser une chance, car elle était plutôt jolie et étant un peu ennuyer il pourrait se divertir en conversant un peu... Et de quelle façon savait elle que l'Ozai était un déserteur? Était t'il rendu aussi connu et sa réputation était telle maintenant mondiale? Si oui celui le réjouissait au plus haut point, il trouvait cela même crole, car que le fait que le monde le juge par le simple fait qu'il soit déserteur était complétement ridicule, eux-mêmes avait des problèmes et une vie pathétique donc pourquoi juger celle des autres, ils devrait commencer par se regarder dans le miroir avant de juger... Bref il allait prendre la peine de lui répondre, donc il stoppa net sa marche et il la regarda dans les yeux et il lui dit sur un ton glacial mais charismatique, comme toujours:

- Pour l'instant mon nom n'a pas d'importance ma chère, je ne voit pas l’utilité de le divulguer, du moins pour l'instant... Et n'avez vous même pas répondu a votre question? Comme vous l'avez dit je suis un déserteur... Mais pourquoi vouer vous une telle haine envers ceux-ci? Et ne généraliser pas, je ne vous ferai pas de mal, du moins je ne croit pas... Et ce que je viens faire, je viens que me balader, cela est fort simple, maintenant répondez a vos propres questions, merci...

Voila il avait prit de son précieux temps pour répondre a cette jeune demoiselle, savait telle au moins le risque que elle prenait en parlant de cette façon a un homme aussi bouleversé et dangereux que Zuko? Bref l'Ozai avait commencer une conversation et il contait bien la poursuivre, peut-être que cette femme pourrait lui apporter de quoi de intéressant, elle pourrait en savoir des choses que Zuko ne savait pas, certes elle était de Suna vu son bandeau, ainsi son rang lui était toujours inconnu, mais vu son chakra elle devait être plutôt forte, mais moins que Zuko, du moins tout laissait a présager cela... Bref l'Ozai attendu une réponse de son interlocutrice et resta de marbre devant elle, peut-être allait t'il adoucir ses traits au fil de la conversation...
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Mezame Kujo


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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeLun 20 Fév - 17:00

Mezame écouta distraitement son locuteur parler. Il était sacrément bavard. S'est fout tout ce qui les gens pouvaient trouver a dire pour éluder une question, alors qu'il pourraient répondre de manière concise et précise « pas tes affaires. T'occupes. ». en fait les gens se souciaient trop de ce qu'on pouvait penser et interprétait tout mal. Franchement par ce qu'il ne serai pas plus simple de dire juste ce qui était vrais de la manière la plus juste qu'il soit ? Kujo, elle, était persuadée que si le monde adhérait a sa vision des choses, tout serait plus simple et ça épargnerai bien des formalités qui f'saient perdre un temps pas possible. Certes, peu être qu'il y aurait plus de guerre, mais au moins on en connaîtrait le motif. « L'hokage m'as dit qu'il m'emmerdait donc, j'l'emmerde aussi. ». point a la ligne, au revoir, rideau.

Voilà que le blanc bec lui parlait de haine injustifiée envers les déserteurs. Bla bla bla ! Et puis elle vis. Un ricanement lui échappa et elle gonfla volontairement la poitrine. Sa voix grave raisonna, moqueuse et chaude a la fois.

- Mes yeux se situent plus haut, Monsieur.

Elle fouilla ses poches la recherche d'une cigarette et usa d'une technique katon pour l'allumer. Stratagème détourné mais judicieux pour parler puissance. D'un autre côté, elle ne comptait pas faire sauter le désert, quoique l'idée était alléchante ! Enfin le Bakuton n'était pas à l'ordre du jour. Elle le fixa simplement et détaillât son torse nu, aux muscles saillants. Vraiment bien dans son corps pour reprendre les dires de certaines de ses camarades féminines. Elle détacha rapidement les yeux du corps -bien qu'agréable a regarder- du déserteur et haussa les épaules.

Finalement lasse, elle se laissa tomber sur le sable ramenant un genoux contre sa poitrine pour y poser son bras droit sur lequel elle posa sa tête. Elle regardait l'horizon que l'atroce chaleur rendait trouble. Des visiteur avaient péris dans ce désert, rendu fou par des mirages... elle laissa tomber sa tête en arrière et ferma les yeux pour souffler de la fumée vers le ciel comme si cet acte apporterai un peu d'ombre sur la pleine de feu . Elle étouffa un rire.

– Torse nu dans le désert par cette chaleur ? On reconnaît bien les touristes. Tu vas crever d'une insolation.

de sa main libre elle dessina des formes dans le sable. Des formes tout droit sortis des légendes d'Iwa que son père lui racontait lorsqu'elle était petite. Des légendes qui avaient bércée sa douce enfance et auxquelles elle s'était accrochée de toutes ses force lorsque la vie-chienne de vie-devenait trop difficile. la mort de son frère, le divorce de ses parents son entrée forcée pour l'académie ninja, le déménagement a suna...tous ces aléas de la vie aux quels elle ne s'était pas préparée.

Comme la première fois ou elle avait tué un homme. A ce sujet elle gardait un étrange sentiment. Les massacres ne l'amusaient pas, mais elle n'éprouvait pas non plus de tristesse a leur mention. S'était partie intégrante de sa vie après tout. Et personne, pas même elle n'était suffisamment fou pour mettre en doute vingt-six, bientôt vingt-sept ans d’existence. Et puis il y avait cette phrase que son frère aîné lui avait un jour dite, petite a ce moment elle n'en avait pas perçu le sens. Mais désormais qu'elle était devenue une belle adulte les choses étaient différentes : « le plus lâche des assassins est encore celui qui éprouve du remords ». Par ce que le remord signifiait qu'on assumait pas son acte, et que l'on avait tué pour rien finalement.

Il y avait nombre d'autre chose qu'elle avait apprise seule par la suite. La signification du mot « douleur », la mort...elle avait finalement compris que la mort était bel et bien une fin en soit et que pire encore, elle était présente tant dans celui qui le donne que celui qui la souffre. Le sens de la vie finalement. La vie était une pomme, on en dévorais la chair pour mourir. La mort s'était ce qu'il restait quand on avait fini la pomme. Le trognon. Et autant dire que Kujo Mezame elle le rongeait encore son trognon. Par ce que temps qu'elle voudrait vivre elle se battrait.

-Pourquoi tu t’excites comme ça ? Tu peux bien faire c'que tu veux. Pour c'que j'en ai a foutre...

elle soufflat encore un peu de fumée. Et fit craquer son dos ankylosé.
- Parles pas de haine comme ça. J'déteste personne et encore moins les gens que je ne connaît pas. Que je réponde a mes questions...admettons , que je m'appelle Mezame. S'est de la pure supposition, hein ? Mais admettons que je sois bien Mezame, alors ma présence d'ici découle naturellement. Mon patron est absent, je boycotte le boulot.

Elle éclata de rire. Que la situation était drôle. En effet qu'elle situation Caucase que celle d'une Anbu des plus haut gradé en train de bavasser sagement de la température extérieur avec un déserteur ! Selon les préceptes du village elle devrais l'arrêter et le tuer. Si on les surprenait elle serai condamnée pour trahison et complicité.

Cette constatation la fit rire et la sensation de papillon dans son ventre ne lui paru pas désagréable. Sa cigarette aux lèvres elle frappas dans ses mains comme une enfant. Elle se tourna vers son locuteur ses prunelles inquisitrices a la recherche d'une réponse quelconque. Ce type était sans nul doutes dangereux mais il eu fallut être fou pour attaquer Mezame sur son territoire. La poseuse de bombe de Suna été connue et s'en prendre a elle en plein désert alors qu'elle connaissait non seulement l'endroit comme sa poche mais avait le secret de quelques techniques bien capable de tout faire sauter sur un rayon de plusieurs kilomètres.

- Tu es loin de chez toi, n'est-ce pas?
Constatation évidente, quelqu'un de la région ne se serai pas engager seul dans le désert qui environnait Suna. Sauf par envie de suicide. Elle souffla un nuage blanc de fumée a la cannelle. Libre a lui de répondre ou non.
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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeMer 22 Fév - 12:14


C
ette femme semblait se moquer de lui, juste un peu, mais cela était déjà trop, de quel droit ce donnait elle la permission de rire de Zuko? Pour qui se prenait elle? A sa connaissance elle était qu'une ninja du village du sable bien ordinaire... Elle n'avait surement pas passer par les même épreuves que l'Ozai, elle ne connaissait surement pas la mort, la souffrance, la trahison t la peine autant que notre protagoniste... Certes tout le monde a son lot de malheur dans la vie, mais Zuko en avait eu bien plus que les autres, et lui il avait tuer son frère, quelqu’un du même sang que lui, de ses propres mains, voila une épreuve difficile qui traumatise un homme, aussi fort soit il... Puis pour rajouter a l'injure de l’insulte, elle se gonfla le torse et dit sur une voix plutôt particulière:

- Mes yeux se situent plus haut, Monsieur.

Elle voulait surement avec cette phrase rappeler Zuko a l'ordre, car elle croyait certainement que il ne faisait que regarder ses seins, bien sur il était gros, mais Zuko s'intéressait bien plus a la personne qu'a ses deux obus, certes il était gros et attirant, mais il n'avait pas juste ça a faire, il devait se concentrer sur la personne, et de plus, si il voulait une femme avec des gros seins et saurait ou en trouver une... Donc ces accusions était plutôt fausse, car il y jetait un petit regard de temps a autre, mais elle aussi lui regardait un peu trop le corps a son gout, donc elle était aussi coupable que lui, de plus la chaleur torride qui régnais n'aidait a rien cette situation, disons particulière... Puis elle se laissa tomber sur le sol et elle alluma une cigarette, Zuko en fit de même concernant le bout de s'assoir sur le sol, car il ne fumait pas, mais que du monde fument autour de lui ne le dérangeais pas du tout car certain de son clan fumait, donc il n'avait aucun problème avec ce fait. Puis après quelques temps dans cette position la konoichi du village du sable poursuivi sur la lancée de bavardage:

– Torse nu dans le désert par cette chaleur ? On reconnaît bien les touristes. Tu vas crever d'une insolation.

Elle avait en effet raison, du moins presque, il est vrai que un être normal souffrirait d’insolation, mais étant un Ozai il tolérait tout particulièrement la chaleur intense, donc cela ne l'affectait pas le moins du monde, excepter les quelques gouttes de sueur qui ruisselait sur son corps d'adonis, rien dut tout laissait voir ou croire que il allait souffrir d'un quelconque malaise du a la chaleur ou au soleil. Puis soudainement, sa nouvelle connaissance se mit a dessiner des formes étrange dans le sol, plutôt dans le sable en fait, des formes que Zuko n'avait jamais vu, il allait bien évidemment continuer d’analyser ces étranges dessins et de peut-être poser quelques questions par apport a cela, car de simple barbouillage pouvait parfois en dire gros sur une personnes, parfois... Elle continua de fumer sa cigarette puis elle dit en deux trait avec une pause entre les deux pour prendre une autre bouffe de son nectars empoisonné:

-Pourquoi tu t’excites comme ça ? Tu peux bien faire c'que tu veux. Pour c'que j'en ai a foutre...

Elle disait a Zuko qu'il s’excitait, eh bien, tant qu'a lui elle s'excitait bien plus que lui, elle était bien plus sur ces gardes et agressive que lui dans la conversations, donc elle n’était pas très bien placé pour parler agressivité, mais bon il n'en ferait pas plus mention dans l'unique but de ne pas attise un quelconque potentiel conflit entre lui et son interlocutrice... Et ce que elle en avait a foutre, elle disait rien, mais il avait bien après une chose dans sa vie c'est que c'est rare que on se fou de tout, Et elle ne se foutait pas de ce que Zuko venait faire ici, car elle était certainement haut gradée et tout ces ninjas d'un village avait la plupart du temps un profond attachement pour leur patrie, et si ZUko se décidait a faire un petit massacre a Suna et bien il était sur que elle ne resterait pas assis les bras croisée sans rien faire, cela lui ferait de quoi, il en était sur, si il s'en prenait a sa famille, a ceux qu'elle aime, a ce qu'elle aime, cela lui ferait de quoi, donc non elle n'en avait pas rien a foutre...

-Parles pas de haine comme ça. J'déteste personne et encore moins les gens que je ne connaît pas. Que je réponde a mes questions...admettons , que je m'appelle Mezame. S'est de la pure supposition, hein ? Mais admettons que je sois bien Mezame, alors ma présence d'ici découle naturellement. Mon patron est absent, je boycotte le boulot.


Elle en rajouta, elle disait détester personne, mais quelle hypocrite, un être normal et même anormale, ne peut pas détester personne. c'est impossible, il a toujours quelqu’un qui va nous déplaire dans la vie, quelqu’un qui va nous avoir fait du mal, quelqu’un que on n'est pas capable de sentir, juste comme ça... Mais il y a toujours quelqu’un que on aime pas et affirmer le contraire c'est ce mentir a soi-même... Cependant elle n'avait pas tort sur tout, il ne se connaissait pas, cela était verdict. Il allait maintenant pouvoir mettre un nom sur ce visage, Mezame, ainsi elle s'appelait, et la raison de sa présence ici, et bien son boss n’était pas lah, et son boss devait être le kage, logiquement, et il était absent, étrange... Un kage ne s'absentait pas facilement, il devait avoir quelques choses derrière tout ça... Zuko le découvrirait bientôt... Puis il continua de parler, pour une fille qui disait que ZUko parlait trop eh bien elle était beaucoup loquace...:

-
Tu es loin de chez toi, n'est-ce pas?

En effet il était loin de chez lui, mais le fait de s’éloigner un peu n’était que bénéfique pour lui, sortir de ce trop plein de tout, de tout ce stress de toute cette pression, ça ne lui ferait pas de tort... De plus il n’était plus sur de ou était son chez-soi, il ne se sentait même plus confortable et bien chez eux, car depuis la mort des membres de sa famille on dirait que l’amour, la vie et la chaleur avait quitter le domaine... Pour faire avancer cette conversation, il n'attendit pas quelle continu de parler et prit a son tour la parole:

-En effet, je suis loin de chez moi, et puis? Je suis libre d'aller ou bon me semble, et aujourd'hui j'ai choisi le désert, choix étrange en fait, Mezame... Mais bon, toi aussi tu es ici, et en plus tu boycott le boulot, tu fait ta coquine? Mais bon je te comprend, parfois les dirigeant sont si stupide et incompétent, donc que tu veuille sortir un peu de ce cercle pathétique est normal...

Il prit une petite pause et il laissa regner un petit silence et il poursuit:

-Et moi je m'appelle Zuko Ozai, comme tu l'as dit je suis un déserteur, et oui... Mais t’inquiète, je ne suis pas vraiment méchant et comme tu as dit je ne te connais pas donc je ne peut pas t'hair et je ne juge jamais sans connaitre... Aussi j'ai été ANBU de Konoha dans le passer, toi quelle est ton grade? Et aussi tant qu'a être ici dans le sable parlons un peu pour se connaitre, car je crois que nous n'avons rien de mieux a faire dans cette infinie de dune de sable...

Parlant de dune de sable, il regarda au loin et il constata l’infinité qui était devant ses yeux, c’était magnifique comme spectacle, l'Ozai continua ceci jusqu’à la réponse de Mezame...
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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeSam 25 Fév - 9:19

Elle le regarda du coin de l’œil. Ce type la laissait perplexe. Ozai. Elle se plantait peu être mais ce nom elle le connaissait. Elle l’avait lut, sans le moindre doute possible, quelques années au par avant a cette époque ou le bingo book était son livre de chevet. Cette époque maudite ou elle avait du opérer pour le village perpétrant pour un honneur dont elle n’avait que faire des meurtres toujours plus atroces les uns que les autres. Époque maudite, elle en convenait. Si son nom lui était familier c’est quel l’avait retenu. Pour diverses raisons : origine, capacités, particularité, rang…restait a savoir pour laquelle d’entre elle le jeune homme était célèbre.

De manière générale la jeune femme ne cherchait pas la gloire. La notoriété dont elle jouissait dans le coin n’était pas volontaire mais purement méritée. S’était une excellente Shinobi, malgré son manque d’intérêt notable pour son boulot. Peu était-ce par ce qu’elle n’avait pas choisis sa voix. Qu’on l’avait forcée a remplacé le fils disparu de la famille Kujo…mais elle n’avait jamais chercher a se faire connaitre pour les prouesse qu’elle avait accomplis. Contrairement aux autres jeunes de sa promotion la demoiselle avait même tout fait pour rester juste dans la moyenne. Un ninja en somme suffisamment doué pour s’en sortir dans n’importe qu’elle situation mais pas assez pour sortir de l’anonymat. Sur ce dernier point elle avait échouer. Nombre de personne contaient a présent l’histoire de la « cendrillon du village caché du sable » cette enfant issue du plus bas des échelles sociales que le talent et le courage avaient élevé au sommet a une vitesse fulgurante.

Elle se rappelait de tout. De ces vautour du conseil qui lui tournaient autour, de la prétendue attention des adultes pour elle. Elle se souvenait des entrainement tous plus durs les uns que les autres. Entrainement auxquels jamais une petite fille de son âge aurai du se soumettre. De l’avilissement a l’état pur. Elle se souvenait , son corps qui se brise sous l’effort…elle se souvenait ses années dans l’anbu, ses années de sans et de guerre…de douleur et de peur.
Elle se souvenait le visage et le nom de chaque homme qu’elle avait éliminé, elle se souvenait le regard de leurs famille, avait graver en elle les noms de chacun de leurs enfants.
Elle se rappelait si bien alors…a cette époque la…elle n’était plus un nom, ni même un visage, elle n’était plus une personne ou même une femme, elle n’était que ce masque. Masque terrible masque que celui que l’on vois avant de mourir.

En fait, elle n’avait rien oublié, et se promettait de ne jamais le faire. Elle devais se souvenir. S’était la seule preuve qu’elle était. Elle se rappelais parfaitement de toute cette haine et de tout ce dégout qu’elle avait ressentis en temps qu’Anbu. Une vie sans autre gout que celui du sang et des vies gâchées. Combien d’orphelin avait-elle fait ? Combien de veuves a déplorer? Trop. Elle avait craqué, elle avait refusé d’aller plus loin. La vie-chienne de vie- lui avait alors appris qu’on arrêtait jamais d’être ninja. Jamais.

Et puis… Et puis il y avait eu Hanzo. Hanzo avec lequel elle était allé a l’académie. Hanzo d’un ans son cadet. Hanzo auquel elle n’avais jamais prêté attention. Hanzo et ses rêves de paix. De véritable paix et non pas d’un simulacre honteux et misérable. Cet homme auquel elle voua bien vite une véritable admiration. Pour lequelle elle repris ses missions. Pour lequel elle redevint l’une des plus célèbre Anbu de Suna. Homme pour lequel elle entra dans la garde et dont elle devint la protectrice. Cet homme qui n’avait pas voulut d’elle comme machine a tuer, auquel elle avait donné sa vie.

Elle soufflât un peu de fumée se faisant une drôle de réflexion. Elle pouffât de rire comme une enfant et jugeât bon d’en faire part a son locuteur.
- Mon grade, hein ?…disons, qu’il fut un temps ou mon rôle aurai été de t’éliminer et de m’assurer que jamais on ne retrouve ton corps. J’étais même sacrément douée.

La mine songeuse elle fredonnât doucement un air de son enfance l’une de ces chansonnettes adorables et enfantines qui accompagnaient les histoire que son père lui contait et dont elle dessinait les symboles distraitement.

- mais cette vie là n’était pas pour moi. J’ai vécu la guerre, j’ai connut le sang, j’ai détruit plus de famille que j’en connais…je n’ai jamais voulut ça. Mais j’étais jeune, je me rendais pas compte.

Elle repensas a tout ce que Zuko avait dit. Les dirigeants étaient si stupides…une vague de colère et d’outrance lui monta a la gorge: qu’en savait-il ? Comment diable lui qui ne connaissait pas Suna pouvait-il se permettre des les juger ? De juger de son chef et de l’insulter de la sorte…

- Que tu insulte copieusement ce village dont j’n’ai rien a fiche passe , que tu critique les systèmes me vas très bien, mais ne commet plus jamais l’erreur d’insulter mon chef devant moi. Jamais plus, par ce que je te jure que j’hésiterai pas a jouer aux Kamikaze pour te faire mourir. Quitte a crever avec toi.

Elle tira un peu de fumée sur sa cigarette et ferma les yeux pour se calmer. Se mettre en colère contre cet homme n’était pas la solution. Elle n’avait pas de raisons de le faire de toutes les manières. Il n’avait rien fait de mal.

- Je te demande pardon. De suna, j’m’en fiche. Tu pourrais bien le faire brûler que j’en aurais rien a foutre. Je t’indiquerai même comment pénétrer le village si ça ne tenais qu’as moi. Mais n’insultes pas mon chef. Tu ne le connais pas et il est loin d’être aussi stupide que tu le dis.

Il est le seul qui comprenne. Ajoutat-elle a mi-voix.
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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeMer 29 Fév - 3:12





L
a jeune femme semblait un tantinet perplexe vis a vis Zuko, elle le regardait du coin de l’œil tout en fumant sa cigarette, et cela elle prenait amplement le temps de le faire, entre chaque réponse elle en prenait une bouffer, cela était t'il un rituel pour elle, une habitude, une manie? Peut-être faisait elle cela pour se calmer, ou bien simplement pour se donner le temps de réfléchir, elle meublait ainsi très bien les silences, mais bon, cela n'est que pur supposition et il en est probablement rien... Puis, après une autre bouffer de fumée, elle poursuivie:

-
Mon grade, hein ?…disons, qu’il fut un temps ou mon rôle aurai été de t’éliminer et de m’assurer que jamais on ne retrouve ton corps. J’étais même sacrément douée.

Intéressant... Une ancienne Oinin, elle avait donc été dans le passer qu'un numéro, une simple machine a tuer, elle ne vivait que pour la mort, la mort des déserteurs, mais qu'avait t'il fait pour mériter ce sort? Il avait quitter leur village, fait quelques crimes mineurs, tuer une personne? Certes certaines choses sont relativement grave, mais cela était elle une raison valable de les exterminer et de rependre la tristesse et la désolation au alentour de eux? Cela n’était pas sur... Tout ceci rappela encore une fois a Zuko l’époque ou il était a Kiri, cette funeste époque, ou il tentait de faire régner la justice en punissant les vrai coupable, mais en vain, les dirigeant sont trop borné... Et la cause est trop vaine, ce monde ronger par la soif de pouvoir et l'argent était vouer a vivre éternellement dans ce vicieux cercles, jusqu’à temps que quelqu’un le détruise... Soudainement un air de contine enfantine venu perturber le ninja du feu dans ses songes, et a son léger étonnement, c’était Mezame qui s'amusait a fredonner cette air, un tantinet étrange, mais bon il n'en fit pas de cas et il écouta la réponse de son interlocutrice:

-Mais cette vie là n’était pas pour moi. J’ai vécu la guerre, j’ai connut le sang, j’ai détruit plus de famille que j’en connais…je n’ai jamais voulut ça. Mais j’étais jeune, je me rendais pas compte.


Pas pour elle... Mais qu'est ce qui est réellement pour nous dans la vie? Le savons nous réellement... Non... Nous apprenons ce que nous aimons, ce qui est pour nous en fonction de nos expériences, de nos erreurs, de nos souffrance, voila ce qui forgent qui nous sommes, et sans ce triste moment de sa vie et sans le fait qu'elle est connu le sang et la guerre, elle ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui, elle n'aurait surement pas vécu un paquet de beaux moments, elle n'aurait pas rencontrée les même personne, bref, elle ne serait pas la même personne et elle ne serait pas aussi forte maintenant, car nos souffrance et nous malheur nous endurcisse et nous rendent plus fort... Et de plus, sinon il ne serait surement pas en train de jaser en ce désert et le destin de Zuko en aurait été aussi changer, il serait probablement en train de massacrer des étranger... Tout cela pour dire qu'un simple instant peut tout changer et que le destin est tel il est et que rien n'arrive pour rien, nous devons subir et garder la tête haute en attendant que une lueur d’espoir ce faufiler a travers les ténèbres dans lesquels nous sommes plongé... Après ce brin de réflexion de la part du seigneur du feu, l'ex-Oinin selon ces dires, poursuivi sur sa lancée:

-
Que tu insulte copieusement ce village dont j’n’ai rien a fiche passe , que tu critique les systèmes me vas très bien, mais ne commet plus jamais l’erreur d’insulter mon chef devant moi. Jamais plus, par ce que je te jure que j’hésiterai pas a jouer aux Kamikaze
pour te faire mourir. Quitte a crever avec toi.


Elle n'avait rien a foutre de son village, et bien... Vraiment intéressant pour une femme étant supposer représenter celui-ci, elle en était une haute gradée a priori et elle s'en foutait littéralement, particulier, mais bon, Zuko aussi se fou un peu de son village natale donc... Cependant elle semblait tenir tout particulièrement a son kage, son chef, elle semblait y tenir plus qu'a elle même, mais pourquoi... Car notre vie n'est tel pas la plus importante en ce bas-monde, la seul chose que l'on possède réellement est notre vie? En fait non, car elle peut nous être enlevée a tout moment, mais bon... Vouer un culte aussi important a son supérieur était un peu étrange... On peut aimer quelqu’un beaucoup, le respecter, l'avoir comme idole, mais être prêt a lui vouer sa vie? cela reviendrait a dire que la notre n'a pas d'importance compare la sienne, que notre existence est vaine et que la sienne en vaut la peine, un tantinet illogique... Du moins, Zuko l'avait déjà vécu, du moins pas au point de donner sa vie mais bon... Son père, il le respectait et pour lui son paternel était la personne la plus importante au monde, mais si il savait bien une chose même a un bas age, c'est qu'il devait tout faire pour rester en vie, il devait se battre, survivre... Rien mais rien au monde n’était plus importante que lui et qu'il devait toujours veiller a sa vie, car tant de personne dépendait et allait dépendre de lui... Donc pour se point il savait que notre propre vie est la chose la plus importante que nous avons et que nous devons empêcher quiconque de nous la prendre...

La fin de son expression de sentiment fut encore plus provocante, elle avait osée parler de tuer Zuko elle l'avait menacer que si il recommençait a insulter son chef elle le tuerait au péril de sa vie... Quand il entendu cela il eu un léger rire, mais pour qui se prenait elle? Pensait elle une seconde pouvoir vaincre l'Ozai? Si cela était affirmatif elle se trompait solidement, car même en se tuant, il doutait fort quelle ai la moindre chance de le vaincre... Et de toutes façon elle ne se rendrait pas a ce point ci, elle n'oserais pas ce suicider pour vaincre un parfait inconnu qui ne fait juste que insulter son chef... De plus, possédait elle vraiment une technique tellement puissante qui nécessitait le suicide de l'utilisateur lors de l'utilisation, fort probable que non... Admettons quel est le courage et l'idiotie de commettre cette acte, cela voudrait dire que elle accorde une confiance et un respect colossale a cette homme, mais qui était il? Cela il le découvrirait asser vite car il allait bien évidemment en faire mention lors de sa prochaine intervention... Puis elle rajouta dans le but de se racheter et d’éviter toute hostilité avec notre homme:

-
Je te demande pardon. De suna, j’m’en fiche. Tu
pourrais bien le faire brûler que j’en aurais rien a foutre. Je
t’indiquerai même comment pénétrer le village si ça ne tenais qu’as moi.
Mais n’insultes pas mon chef. Tu ne le connais pas et il est loin
d’être aussi stupide que tu le dis.


Bien, elle lui demandait pardon, elle avait donc vu que manquer de respect a un homme comme Zuko pouvait être dangereux... Voila un geste intelligent, mais de toute façon il ne voulait pas se battre avec elle, donc elle pouvait bien le taquiner un peu qu'il n'en ferais rien, cependant certaines zones étaient a ne pas explorer, mais bon, elle ne les connaissait pas et ne connaissait pas l'Ozai donc aucun risque de tomber dans des sujets plus explosifs ou notre ninja pourrait erre disons, un tantinet agressif et avoir une envie soudaine de tuer... Bruler le village une bonne idée, il pourrais bien déchainer sa puissance et finir sa vie sur un beaux spectacle, car il était très confiant en ses capacité a détruire un village, y faire régner la peur et le malheur, il pourrait bien y aller et tout détruire sur son passage et lorsque que les ninjas de haut niveaux viendrait l'attaquer il se défendrait jusqu’à ne plus être capable de se battre, puis le sceau prendrait la relève et nous assisterions a un glorieux massacre, un calacinage en règle, tout un feu d'artifice donc peu sortirais vivant, même Zuko périrait lors de cette éventuelle attaque, mais cela serait si magnifique, si divertissant, cela serait le crescendo de sa vie... Mais bon trêve de divagation, les villages et leur kage, il s'en occuperait plus tard. car bien évidemment, il avait des plans, des idées dans le but de faire voir a ce monde la vérité, leur faire ouvrir les yeux... Soudainement, elle ajouta voix basse "Il est le seul qui comprenne"... Perturbant... Sans plus il se devait de l'interroger sur divers points:

- Je te trouve plutôt intéressante, Mezame... Sache en premier lieux que j'ai moi aussi été lors de ma jeunesse un tueur de déserteur... Et comme toi j’étais plutôt douée, une vrai machine a tuer selon certain... Fait particulier, j'avais a peine 15 ans, on ma voler mon enfance, j’étais une machine a effectuer des missions, apporter la gloire et le respect a mes supérieurs, il récoltait tout le mérite de mes actes et eux, il se foutait de notre vie, la seul chose qu'il voulait c’était que leur village paraisse bien, et en éradiquant des pauvres déserteurs , pour la plupart, il avait la conscience tranquille...

Zuko prit une pause et réfléchit a son passée, il constatait tout le chemin qu'il avait parcouru, ce qu'il était devenu, un enfant respectueux et droit, un enfant modèle qui excellait partout... Puis le temps passa et les épreuves aussi... Tout cela le transforma en adulte froid et avide de sang qui tue sans raison, parfois... Lui même ne savait même plus ce qu'il était, ou il allait, il se contentait de paraitre fort devant les autres et de rester stoïque, mais en réalité il était fragile, il était détruit, il était perdu dans les profondeurs abyssale du tergiversement... Puis après ce léger silence plutôt bénéfique a leur conversation car il laissait place a la réflexion, il poursuivi:

- Tu semble vraiment aimer et respecter ton chef... J'aimerais que tu m'explique pourquoi tu y tien autant, pourquoi il est si important dans ta vie? Et pourquoi ton village ne l'est pas, donc si j'y sèmerait la douleur et la mort cela ne te ferais rien tu en est sur? Que des milliers d’innocents périssent sous ma main ne te dérangerais pas le moins du monde? Tu dormirais sous tes deux oreilles? La conscience tranquille? En sachant que tu aurait pu m’arrêter...

Il marqua le tout d'une pause dans l'unique but de laisser réfléchir son interlocutrice puis il poursuivi:

- J'aimerais te proposer quelques choses, j'aimerais bien qu'on aille dans ton village ensemble, et ne t’inquiète pas pour la fait que je me fasse repérer, je vais prendre un bandeau ninja a un passant et je vais camoufler mon chakra, je désire aller me promener un peu avec toi, car plus nous parlons plus je te trouve particulière, tu n'est pas comme tous ces shinobis qui ne vive que pour vivre, tu es plus profonde et tout cela me titille légèrement, je veux te connaitre, et je crois que nous avons tout les deux d'innombrable mystère a dévoiler, donc pourquoi pas s';amuser un peu en cette blle journee? Quand dit tu, Mezame?

Puis il regarda la ninja du sable en attendant une réponse a ses nombreuse questions, les futurs moment seront décisif, peut-être allait t'il pouvoir en apprendre un peu plus sur elle, sur la vie, sur lui, ou peut-être cela allait t;il se terminer d'une triste facon encore, non il ne le voulait pas, pas trop de sang aujourd'hui, non...








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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeSam 3 Mar - 15:46

Elle l’écouta parler avec une certaine attention et un sérieux hors du commun pour le personnage. Elle eu un sourire amusé a l’idée que personne d’autre que ce déserteur ne pouvais se targué d’avoir capté l’attention de la jeune femme aussi longtemps. Sa capacité de concentration était très restreinte surtout lorsqu’il fallait parler. Elle n’aimait pas trop les bavardages, les blablatages incessants l’énervaient rapidement et elle décamper aussi vite qu’elle était arrivée.

Mezame l’avouait sans honte elle fuyait les conversation. Elle fuyait cette parole maudite qui laisser aux autre le droit de la découvrir telle qu’elle était. S’était une réflexion qu’elle s’était toujours faite pour éviter de souffrir il fallait s’arranger pour sembler anodine en tout, juste moyenne. Elle s’en était plutôt bien sortie. Si ses capacités de ninja n’étaient pas discutables certain avaient des doutes sur ses capacités en temps qu’être humain. Était-elle capable de penser par elle-même ? Kujo était-elle capable de s’entendre avec d’autres humain ? Elle semblais parfaitement incompétente pour tout ce qui relevait du niveau de l’empathie ou de la réflexion.

S’était d’une idiotie incommensurable, Kujo Mezame était loin, très loin d’être stupide et le kage lui-même l’avait reconnue comme « exceptionnellement intelligente » même. Seulement jouer les imbéciles lui facilitait la vie et pour rien au monde elle n’aurai changer cela. Par ce qu’on l’aurai envoyer faire la guerre dieu seul savait ou. Elle savait ce que s’était que d’être de la chair a canon. Elle ferma les paupière et murmura encore plus fort les paroles enfantines de ce cantique d’Iwa. Iwa ou elle n’était pas retournée depuis de nombreuses années. Iwa ou elle avait vécu les plus belle mais aussi les pires années de sa vie d’enfant.

Le vent balaya une importante quantité de sable. Mezame se releva a une vitesse alarmante vibrant de colère. Ses très longs cheveux d’encre fustigeant son visage ses yeux plus foncé qu’un puits sans fond braqu » sur le déserteur alors que son indexe se pointait impérieusement sur le village du sable qu’on pouvait entre-apercevoir malgré la tempête qui se levait.

- Il n’y as pas le moindre innocent dans ce village! Coupable! Pour avoir fait de moi un substitut de mon frère: coupable! Pour avoir fait de moi un ninja : coupable! Avoir fait d’une petite fille une machine de guerre: Coupable! Détruire la vie d’une enfant: coupable! Je ne suis pas payée pour protéger ce putain de village et ses putains d’civils. Mon taff a moi s’est de veiller sur le kage. point.

Elle respirait fort et ses yeux se perdirent dans le vague. Elle disait ça néanmoins, était-elle elle-même en mesure de juger ceux qui lui avaient pris son enfance ? Monstre elle était devenue, et elle s’était écroulée. Qui pouvait savoir les atrocités qu’elle aurai pus commettre a ce moment ou elle avait sombré dans la folie ? Personne et elle ne voulait même pas le savoir. Elle avait faillis devenir un monstre et le conseil aurait gagné. Ils auraient eu leur arme et le plein pouvoir sur cette poupée sans âme ni vie, sans autre foi ou loi que les ordres donnés. Son visage se radoucis et sa voix se fit plus douce, mielleuse…

- Et puis il y as eu Hanzo. Il a été le seul a comprendre que j’allais devenir folle, le seul a comprendre que …j’avais besoin d’aide. Il m’as tendu la main. S’est grâce a lui que je m’en suis sortie. Je lui dois tout. Il a fait de moi la femme que je suis. Il n’est pas dupe, il sais que je ne suis pas stupide comme je prétend l’être, mais il me laisse en paix. S’est pourquoi…s’il venait a disparaitre plus rien n’aurai de sens. Rien et encore moins ma vie ici bas.

Hanzo Ryozuke avait été durant toutes ses années la seule chose a laquelle elle avait pus se raccrocher. Un point de repère, une lumière au milieu de la nuit. Sa raison de rester, sa raison de rentrer, sa raison d’être en colère, sa raison de rire, sa raison d’être simplement. Il était devenu une sorte d’être au dessus de tout pour la jeune femme qui l’adorais. Elle l’aimait non pas comme une femme aime un homme, mais l’adorait a la manière dont on adore un amant, elle l’adorait comme on adore une idole sacrée, comme on adore un dieu finalement. Elle l’aurait suivit jusqu’en enfer. Elle le suivrais jusqu’as la fin de ce monde et de celui d’après s’il le fallait.

Elle considéra avec beaucoup d’attention la seconde proposition de l’ex-Oinin et désormais déserteur. Le faire entrer dans le village ? Si elle tombais sur un membre du conseil s’était la peine de mort et pour le coup même le kage ne pourrais rien faire pour la sauver. Hanzo aimait Suna. Elle ne pouvait pas permettre a qui que se soit de mettre le village en danger pour cette simple et unique raison. Elle était responsable de la sécurité. Elle avisa le vent et l’air. Puis soupira fouillant ses poches a la recherche d’un morceau de fil ou d’une connerie du genre. Un morceau de ficelle blanche ferais l’affaire. Le morceau qu’elle trouva devais mesurer moins de cinquante centimètres elle le tendis a l’Ozai.

- Hanzo m’butera si il arrive quoique se soit., mais au vu de la tempête qui se lève te laisser ici serai du meurtre. Personne ne survit a ça, croyez moi. D’ici peu il y aura tellement de vent qu’il sera impossible de respirer. J’accepte de vous faire entrer si vous accepter de vous attacher a moi. Au moindre mouvement suspect je nous fait sauter tout les deux. Je suis désolée, c’est la seule chose que je puisse faire.

Elle écrasa sa cigarette et regarda le jeune homme dans les yeux attendant patiemment sa réponse. Si ils étaient découvert elle était une femme morte.
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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeDim 4 Mar - 23:42




Soudainement une bourrasque de vent survenu, elle était d'une intensité plutôt élevée, une tempête de sable était a l'horizon, dans ce coin de pays cela semblait plutôt régulier, mais pour Zuko cela serait une première, il n'avait encore jamais affronter la colère de désert, cela allait être intéressant et cela allait pour sur pimenter leur journée... Puis après avoir été surprise par ce soudain vent, Mezame pointa une masse lointaine, ce qui devait être le village caché du sable selon l'expertise de l'Ozai, puis elle dit tout en gardant son doigt dans cette direction:


-
Il n’y as pas le moindre innocent dans ce village! Coupable! Pour avoir fait de moi un substitut de mon frère: coupable! Pour avoir fait de moi un ninja : coupable! Avoir fait d’une petite fille une machine de guerre: Coupable! Détruire la vie d’une enfant: coupable! Je ne suis pas payée pour protéger ce putain de village et ses putains d’civils. Mon taff a moi s’est de veiller sur le kage. point.


Innocent, coupable, ce n'est que des mots, on est l'est tout un peu, personne n'est tout blanc ou tout noir, même les hommes les plus bons avaient au fond d'eux des secrets a cachés, il avaient aussi fait des choses regrettable... Même chose pour les méchants, eux aussi ont au fond d'eux une parcelle de bonté eux aussi il ont aimer et ont été aimer... Mais pourquoi il sont devenu ce qu'ils sont? Cela seul la vie le sait, seul le destin en sait les vrais raison, mais ce destin est immatérielle, il est invisible, il n'existe peut-être même pas, ce n'est peut-être que nous qui essaye de trouver des réponses aux nombreuse questions que l'on se pose et on utilise des références non-fonde et inexistantes et dites supérieur pour expliquer des choses qui resteront pour l’éternité inexplicable... On sentait en Mezame une certaine rage, elle était fâché après ceux qui l'on fait devenir ce qu'elle est... Elle en veut a tout ces dirigeants, tous ces chef qui décident pour nous, tous ces imbécile qui croit que les choses qui sont bonne pour eux sont aussi bonne pour l'ensemble du monde, non bande d’ignorant profiteur, vous ne savez pas, nous savons cependant ce qui est le meilleur pour nous, et d'ici bientot le pouvoir reviendra au peuple, des injustices de ce type, des vie ruinées, il en aura plus, les choses vont changer, la vérité va éclatée au grand jour, enfin les gens pourront ouvrir les yeux.... Puis après quelques temps passer dans le silence, en fait plus dans le bruit du vent tonitruant, la ninja du sable poursuivi:


-
Et puis il y as eu Hanzo. Il a été le seul a comprendre que j’allais devenir folle, le seul a comprendre que …j’avais besoin d’aide. Il m’as tendu la main. S’est grâce a lui que je m’en
suis sortie. Je lui dois tout. Il a fait de moi la femme que je suis. Il n’est pas dupe, il sais que je ne suis pas stupide comme je prétend l’être, mais il me laisse en paix. S’est pourquoi…s’il venait a disparaitre plus rien n’aurai de sens. Rien et encore moins ma vie ici bas.



Un sauveur, elle était la brebis égarer et son kage le berger, il l'avait sauver d'une vie quelle ne voulait plus, sans lui elle serait encore en train de tuer dans un but qui n’était pas le sien... Elle disait jouer la carte de la fille stupide, intéressant, donc d'habitude elle laissait croire avoir peu de jugeote et de cette façon elle était sous-estimer et elle pouvait sortir un grand coup tout a fais inattendu de sa part, brillant... A force de jaser avec la demoiselle il s'en rendait bien compte, elle n’était pas n'importe qui, elle avait vécu des affaires dans sa vie et elle en était sortie plus forte, elle avait grandi, compris et continuer d'avancer. Elle avait défoncer les obstacle et quand elle tombais elle se relevait et tout cela avec l'aide de ce Hanzo, ce type devait être tout un homme, il semblait plutôt bon et le fait de faire sa rencontre intéressait Zuko. Plus même, il allait le rencontrer d'ici peu, probablement pas aujourd'hui, ni même ce mois ci, mais il allait le rencontrer pour sur... Et cette rencontre serait décisive pour bien des personnes... Mais bon arrêtons de voir trop loin dans le futur et concentrons nous sur le moment présent, qui est sa rencontre avec Mezame, cette dernière donna un fil a notre protagoniste et lui dit:

- Hanzo m’butera si il arrive quoique se soit., mais au vu de la tempête qui se lève te laisser ici serai du meurtre. Personne ne survit a ça, croyez moi. D’ici peu il y aura tellement de vent qu’il sera impossible de respirer. J’accepte de vous faire entrer si vous accepter de vous attacher a moi. Au moindre mouvement suspect je nous fait sauter tout les deux. Je suis désolée, c’est la seule chose que je puisse faire.

S'attacher, tres bien, il n'y posais aucune objection, si cela pouvait rassurer sa nouvelle connaissance... De plus comme il l'avait déjà dit, il ne comptait pas faire de massacre ou bien faire le moindre trouble aujourd'hui, donc il n'y voyait aucun danger dans le fait de s'attacher... Donc il prit la corde et il l'attacha autour de sa taille, et il les deux shinobi se mirent a avancer dans la tempête, il pouvait voir au loin le village se rapprocher, la tempête prenait de l'ampleur, la visibilité devenait de plus en plus faible, mais les deux ninjas continuait d'avancer pareil, pas a pas il se rapprochait de la sécurité. Mais soudainement, quelque chose venu perturber leur marche a travers ce déluge de sable, Mezame qui marchait en avant pour guider le chemin ne pu voir que deux ninja, probablement des mercenaires ou des bandits a la recherche d'argent, ils s'en allaient attaquer sa partenaire de marche, il ne pouvait pas cela se laisser passer, au risque de se faire exploser par Mezame, il decida de foncer vers eux tout en criant a la ninja de Suna de faire attention, mais vu le vent elle n'entendu probablement rien... Donc le plus rapidement possible il sorti un kunai et en un instant il coupa la gorge d'un des deux ninjas, puis avec la corde il étrangla le deuxième, tout cela se fit très rapidement, son interlocutrice n’eut même pas le temps de réagir, elle aurait tout un choc en constata que il venait de tuer deux shinobi dans son dos, mais bon cela était pour la protéger, donc il allait lui expliquer tout en se rapprochant pour bien se faire comprendre:

- Je suis désolé d'avoir du en venir a tuer ces deux inconnu, mais il s'en venait surement te tuer vu leur armes et leur bandeau de déserteur du village du sable, donc j'ai du agir, et tu m'as sauver de cette tempête donc je t’étais reconnaissant, de plus tu me semble une jeune femme pas comme les autres, je ne pourrais dire quoi, mais tu dégage quelque chose de particulier, tu es plus profonde et plus aguerrie que bien des gens... Bon je crois que nous pourrons discuter plus amplement une fois dans le village en sécurité... Bon mène y moi et nous dialoguerons plus, et ne t’inquiète pas, je vais masquer mon chakra et me faire discret...


S
ur ce Zuko la suivi jusqu'au village du sable.





Hrp: Dsl post moyen mais bon je devais faire vite, le prochain sera meilleur Wink


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MessageSujet: Re: La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ]   La Prose des Hommes libre [Pv Zuko Ozai ] I_icon_minitimeMar 6 Mar - 16:39

La mort. La mort. Avec toutes ces années et toutes ses exécution Kujo Mezame avait fini par en comprendre le sens profond. Plus que sa traduction littéraire en plusieurs langues et divers patois, plus que la couleur du sang qu'elle avait trop souvent vu et don elle connaissait toutes les nuances. Il y avait bien plus que la disparition subite derrière le terme de « mort ». l'absence. L'insoutenable vide, le néant finalement, l'incapacité de revenir en arrière. Mettre fin aux jours de quelqu'un, s'était mètre un terme a son destin et empêcher tout ce qu'il aurais pus se produire d'arriver. Aurait-il eu des enfants ? Une femme ?

S'était éradiquer de manière définitive un être qui n'avait rien de plus ou de moins que son assassin. Stoppée dans sa course elle regarda avec dégoût le carnage occasionné par son locuteur. Elle se débarrassa de la corde et se précipita sur les deux dépouilles. Ses yeux se posèrent en premiers sur celui des deux qui avait été égorgé. Le sang bouillonnait encore coulant de la blessure. Elle posa ses mains sur la plaie , les prunelles hagardes, l'air fou. Désespérée , la jeune femme laissa son chakra vert investir la blessure sans le moindre résultat. Elle tentât avec l’énergie du désespoir de ramener a elle celui qui avait été étranglé. « Merde, mais merde ! ».

elle cessa finalement ses efforts inutiles. Rien de ce qu'elle pourrait entreprendre ne ramènerais ses enfants a la vie. Rien. Par ce que s'était bel et bien ça la mort : l'une des rares choses contre lesquelles Mezame était parfaitement impuissante. Incapable de faire quoique se soit. Le seul ennemis qu'elle ne pouvait pas vaincre.
Elle observa un moment ses paumes couvertes d'un liquide incarnat. Poisseuses du liquide de vie qui s'échapais du corps d'un des deux adolescent mort. Son visage se ferma. Pourquoi ? Pourquoi ? Elle se leva et ferma les points, l'un d'entre eux s’abattit avec déchirement sur la poitrine de l'homme qui l'accompagnait alors que la tourmentée tentait de se rappelais de qu'elle manière on s'y prenait pour parler. Ses entrailles serrées par la rage et la colère, l'incompréhension.

-comment as-tu pu ? Espèce de...Tu...Pour toi ils ne représentent qu'une menace potentielle...mais moi je les ai vus grandir ces gosses!

Elle se repris difficilement et se détourna du déserteur pour faire le tour des corps. Elle fit les cents pas , pareille a un lion en cage. Au bord du gouffre, frustrée. A bouts de nerfs. S'en était fini de la belle et blasée kujo Mezame, ces derniers événements avaient eu raison de son self contrôle. Il était plus que temps qu'Hanzo revienne. Elle ne pouvait plus simplement l'attendre dans son bureau, attendre désespérément son retour. Qu'il rentre. Qu'il rentre. Comme prise d'un spasme elle saisis son crâne entre ses mains et fit brusquement volte face. Elle alluma une cigarette pour recouvrir son calme.

- J'ai tué les proches de ses gamins. Normal qu'ils m'en veulent. Cependant, ils sont du village. Personne de Suna ne prendrais le risque de m'attaquer sur mon territoire. Le désert est mon palais. Ils n'attaquaient pas. Alors pourquoi?

elle inspira une grande bouffée de tabac et rattacha la cordes a leurs poignet respectifs sa main droite resta un moment accrochée a l'avant bras gauche du jeune homme. Elle soupira comme pour chercher ses mots et finalement se calma, levant une nouvelle fois le regard sur zuko. Elle souffla a son visage un nuage de cannelle et lui souris gravement.

- j'vais te donner un conseil alors écoutes moi bien. N'attaque jamais le premier , comme tu viens de le faire. Jamais. Par ce que quoiqu'il advienne après : tu en sera responsable. Laisse l'autre attaquer et puis venge toi. Ne lui laisse plus aucune chance de riposter.
Elle lui attrapa la main et le traîna à sa suite en direction de Suna. Ce qu'elle pouvais faire comme connerie quand le Kazekage s'absentait. Elle était un véritable danger et elle se jura intérieurement de se vendre elle même si malheur il arrivait par la faute de l'Ozai.

- s'est triste, mais la vengeance est encore la forme de justice la plus sure... annonçat-elle avec philosophie. Et personne ne pouvait la contredire. Par ce que leur monde en était la preuve la plus fracassante.
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